TECHNOLOGIE DE PAIX

john hagelin
John Hagelin, physicien quantique

LA MÉDITATION DE GROUPE PEUT-ELLE APPORTER LA PAIX DANS LE MONDE ?


Le physicien quantique, John Hagelin, explique

Vidéo doublée en français.

https://vimeo.com/149628619

Transcription et traduction de la vidéo :

Je vais vous montrer brièvement quelques-unes des premières recherches. Ceci est la première étude, c’est une expérience réalisée au Moyen-Orient au plus fort de la guerre du Liban au début des années 1980.

L’hypothèse avait été émise, basée sur de nombreuses expériences précédentes plus réduites qui montraient que si un nombre suffisant de personnes faisaient l’expérience et stimulaient de façon collective ce puissant domaine fondamental de paix à l’intérieur, qu’il y aurait une influence rayonnante de paix qui aurait une incidence sur le comportement des gens dans la société toute entière. Les gens se réveilleraient le matin et ils se diraient «Hé, je ne pense pas aller tuer quelqu’un aujourd’hui.» Quelle pensée novatrice qui, comme vous le savez, sans une vision extrêmement étroite, très égoïste et extrêmement stressée ces actes désespérés de terrorisme ne trouveraient tout simplement pas de sol fertile pour pousser.

Ce graphique montre une ligne pointillée qui monte et descends, il représente sur une base quotidienne, le nombre de personnes qui méditent dans un groupe à Jérusalem. Ce groupe comprends environ un millier de personnes en moyenne, parfois plus, parfois moins. Et la ligne continue représente l’avancée vers la paix du conflit au Liban voisin.

Avant même d’avoir effectué l’analyse statistique, vous pouvez presque voir à partir des données brutes, que les progrès vers la paix, mesurés par la diminution du nombre de décès de guerre, la réduction des blessures de guerre, et la réduction du nombre de bombes, que ce progrès vers la paix évolue très étroitement par rapport au nombre de personnes qui méditent en groupe, irradiant cette influence de paix intérieure en paix extérieure.

Lorsque cela a été soumis à l’analyse mathématique, la probabilité que cela soit tout simplement dû à un coup de chance, ou au hasard, est inférieure à un dix-millième (<10-4).

Pour être en mesure de dire quelque chose avec une telle certitude, que la méditation de groupe empêche la guerre, est une découverte tout à fait remarquable.

Lorsque cela a été publié dans le Journal of Conflict Resolution de l’université de Yale, cela a déclenché une tempête.

Tout d’abord il a fallu deux ans pour publier cet article parce que les éditeurs l’ont examiné encore et encore, et ils ont finalement déclaré : «Ce document est inattaquable.»

Cet article a été réalisé avec un niveau de rigueur scientifique bien au-delà de ce qui est nécessaire pour une publication dans aucune revue scientifique.

Ils devaient donc la publier, mais ils l’ont publié avec une lettre. La lettre dans le journal disait : «Les résultats de cette expérience sont tellement inattendu, qu’un millier personnes puisse influer sur le comportement d’un million», qu’ils appelaient d’autres scientifiques à sortir et à répéter cette étude.

Et c’est exactement ce qui s’est produit au cours de ces deux années et quart. Sept autres études scientifiques ont suivies et ont reproduit l’expérience durant la formation de groupes de méditants en assemblée, qui pratiquaient la Méditation Transcendantale.

Et dans chacune de ces expériences, au cours de cette période de deux ans et quart, il y a eu une réduction prononcée de la violence et de la guerre, une baisse de 80% du nombre de décès dus à la guerre, ou de blessures liées à la guerre.

En comparaison aux autres jours durant lesquels il n’y avait pas de groupe de méditation dans cette période de deux années et quart, la situation s’est légèrement aggravée, comme le montre ce graphique, en comparaison à sept colonnes très positives montrant un progrès statistiquement très significatif vers la paix pour chacune des expériences.

Si vous mettez tout cela ensemble, la probabilité pour que cette réduction de la guerre soit simplement due au hasard et non à la présence de ces groupes de méditation est inférieure à un dix millionième, < à 1 sur 10 millions !

Il y a beaucoup plus de preuves que la méditation de groupe peut désamorcer la guerre à la façon d’un interrupteur qu’il n’y a de preuve que l’aspirine réduit les maux de tête par exemple. C’est un fait scientifique.

Par Dr John Hagelin, physicien quantique, le 06 octobre 2009.

Source : BienfaitsDeLaMéditation.com http://www.bienfaits-meditation.com/fr/recherches_scientifiques/technologie-de-paix/technologie-de-paix-par-le-physicien-john-hagelin

Orme-Johnson, D. W., Alexander, C. N., Davies, J. L., Chandler, H. M., & Larimore, W. E. «International peace project in the Middle East: The effect of the Maharishi Technology of the Unified Field.» (Projet de paix internationale au Moyen-Orient : l’effet de la Technologie du Champ Unifié de Maharishi), Journal of Conflict Resolution (Journal de résolution des conflits), 1988, pp 776–812, disponible sur : jcr.sagepub.com/content/32/4/776.abstract, Autre lien : Reply to a Methodological Critique.

Jeanne Ball «Scientists Propose Peace-Promoting TechnologyTo Counter Terrorism: An Interview With Quantum Physicist John Hagelin» (Des scientifiques proposent une ‘technologie qui promeut la paix’ pour contrer le terrorisme : un entretien avec le physicien quantique John Hagelin), 12 août 2015, disponible sur : huffingtonpost.com

Global Union of Scientists for Peace «Selected References» (Union Mondiale des Scientifiques pour la Paix) Selected References (Sélection de références), disponible sur : www.gusp.org.

John S. Hagelin, Maxwell V. Rainforth, Kenneth L. C. Cavanaugh et. al. «Effects of Group Practice of the Transcendental Meditation Program on Preventing Violent Crime in Washington, D.C.: Results of the National Demonstration Project, June–July 1993» (Effet de la pratique de groupe du programme de Méditation Transcendantale sur la prévention de crimes violents à Washington, D.C. : Résultats du projet de démonstration nationale, de juin à juillet 1993), Social Indicators Research (Recherche sur les indicateurs sociaux), juin 1999. Volume 47, numéro 2, pp 153-201, disponible sur : springer.com.

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