RÉQUISITION DE TOUS LES SAUNAS DE FRANCE !!!

Conquering COVID 19, Dr Dan Lee Dimke, PHD :

Vidéo publiée par RED PILL PORTAL, le 15 mars 2020.

Traduction et transcription de la vidéo :

PRÉCAUTIONS :

Le virus hautement contagieux qui a provoqué «l’épidémie de COVID-19» comporte une vulnérabilité importante qui peut être immédiatement exploitable. En d’autres termes, ce coronavirus a le potentiel d’être arrêté, peut-être plus facilement que la plupart des gens et la plupart des professionnels de la santé ne le pensent. Le Dr Dan Lee Dimke PhD, explique la science derrière la nature fragile de ce virus et propose une thérapie auto-administrée facile qui, si elle est largement pratiquée, pourrait offrir une aide supplémentaire pour mettre fin à cette épidémie plus rapidement.

ATTENTION : Cette procédure présentée dans cette vidéo n’est PAS un remède contre le coronavirus ! Il n’a encore été approuvé par aucune autorité sanitaire. Il doit être considéré UNIQUEMENT comme une couche de prévention supplémentaire EN PLUS DE TOUTES LES AUTRES PRÉCAUTIONS recommandées par le CDC, l’OMS ou d’autres autorités sanitaires – y compris le lavage des mains, distanciation sociale, la toux et les éternuements dans une manche, en évitant le contact avec les autres qui affichent les symptômes, se faire tester pour COVID-19 si on a de la fièvre et si d’autres symptômes respiratoires se développent, et demander un avis médical immédiat si le test est positif pour COVID-19, ou si les symptômes persistent ou s’aggravent. REMARQUE : une fois que le virus a migré vers les poumons, ce qui peut survenir chez jusqu’à 20% des patients en une à deux semaines, le virus est trop éloigné de la source de chaleur externe pour être considérablement affecté par l’inhalation d’air chaud. Les avantages sont probablement plus élevés lorsqu’ils sont utilisés à des fins de prévention et de traitement précoce.

VIDÉO: Version courte (5 minutes 59 secondes)

VIDÉO: Version COMPLÈTE (16 minutes 45 secondes)

VIDEO: Version courte en espagnol (5 minutes 59 secondes)

Après avoir visionné cette vidéo, si vous décidez d’essayer cette procédure vous-même, n’oubliez pas de suivre toutes les procédures exactement comme présenté, en utilisant uniquement les sources de chaleur suggérées. (La vapeur n’en fait PAS partie). N’UTILISEZ PAS des niveaux de chaleur excessifs qui causent UN QUELCONQUE niveau d’inconfort. N’UTILISEZ PAS de dispositifs de chauffage externes plus anciens (antérieurs à 1990) qui ne sont pas équipés d’un circuit d’interruption de défaut à la terre à 2 boutons sur la prise murale – conçu pour éviter les chocs électriques. Vaporisez de l’eau distillée ou préalablement bouillie à température ambiante chaque fois que possible.

Suivez TOUTES les précautions recommandées par le fabricant pour l’utilisation du sauna et commencez par des séances de 3 à 5 minutes seulement. Augmentez progressivement. Évitez complètement l’utilisation du sauna si vous consommez de l’alcool ou si vous avez de la fièvre ou de l’hypertension. Et consultez votre médecin, avant d’utiliser un sauna, si vous êtes traité pour une condition médicale ou si vous prenez actuellement des médicaments sur ordonnance. La sécurité d’abord!

TOUTES LES COPIES ET LES REDISTRIBUTIONS DE CETTE VIDÉO DOIVENT ÉGALEMENT INCLURE TOUTES LES PRÉCAUTIONS ET PRÉCAUTIONS CI-DESSUS.

UNE TRANSCRIPTION COMPLÈTE de la vidéo apparaît ci-dessous.

Copyright © 2020 par Future World Corporation

Vaincre le COVID-19 par le Dr. Lee Dimke

LA NARRATION COMMENCE :

Le nouveau Coronavirus de Wuhan, maintenant connu sous le nom de SRAS-CoV-2 et la maladie qu’il provoque, le Covid-19 qui fait des ravages sur les vies et sur les économies du monde entier, ont été déclarés urgence sanitaire mondiale par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ^[1].

Comme presque tous ceux qui regardent les informations l’ont appris, Covid-19 est causé par un coronavirus potentiellement mortel. Mais comme bon nombre des esprits scientifiques les plus brillants du monde cherchent une solution biologique à cette pandémie ^[2] régionale actuelle, il est possible qu’ils négligent une solution beaucoup plus facile et plus rapide à cette crise.

Les solutions biomédicales sont complexes et coûteuses et leur inconvénient le plus flagrant est qu’elles mettent beaucoup de temps à se développer. Le temps est un ennemi formidable pour ceux qui sont déjà infectés et, en raison de la capacité génétique de transformation du coronavirus, le SRAS-Cov-2 est une bombe à retardement. Selon les virologues, plus il est en mesure de se propager sans contrôle, plus il a de chances de se transformer à tout moment en une nouvelle version immunisée contre les éventuels vaccins en cours de développement.

Cette caractéristique de cible mouvante est la principale raison pour laquelle, tout au long de l’histoire de plus de deux siècles de biomédecine moderne, aucun vaccin commercial n’a jamais été proposé pour aucun coronavirus, pas même le coronavirus mortel SARS-CoV de 2003. Au moins trois sociétés pharmaceutiques différentes travaillent actuellement sur les vaccins. On ne sait pas encore si les millions de doses nécessaires seront prêtes à être distribuées avant que le coronavirus mute ou disparaisse.

Voici le Dr Dan Lee Dimke. Alors que cet événement mondial se déroule, il est important de reconnaître que le SRAS-Cov2 a un talon d’Achille — une vulnérabilité exploitable qui est partagée par la plupart des virus des voies respiratoires supérieures et tous les autres coronavirus connus. Ils sont remarquablement fragiles. Bien qu’ils puissent survivre facilement pendant des semaines, voire des mois à des températures proches de ou inférieures à zéro, ces virus meurent en quelques minutes seulement lorsqu’ils sont exposés à des températures plus élevées de l’air.

C’est la raison pour laquelle la saison du rhume et de la grippe ne survient que pendant les mois d’automne et d’hiver. En effet, le coronavirus actuel, le SRAS-CoV-2, n’est apparu qu’après les températures diurnes à Wuhan, la Chine est tombée en dessous de 4 ° C (39 ° F) en décembre 2019. Leur aversion pour la chaleur oblige ces types de virus à vivre et à se reproduire uniquement dans la partie la plus fraîche du corps, généralement à l’intérieur des cellules épithéliales qui tapissent l’intérieur de notre nez et de nos cavités sinusales. Parce que les sinus sont situés juste derrière les joues et les narines, ces cavités nasales sont souvent presque aussi fraîches que l’air extérieur que nous respirons, pendant les mois les plus froids de l’année.

Mais, lorsque la température de l’air extérieur augmente, la température des sinus augmente également. Une fois qu’il fait trop chaud à l’intérieur pour que ces virus se reproduisent, ils disparaissent rapidement. C’est ce qui s’est produit au printemps 2003 lors de la pandémie de SRAS-CoV. Une fois que les températures diurnes ont augmenté au-dessus de 22° C. 72° F, l’épidémie mortelle s’est soudainement terminée — d’elle-même — pour ne jamais revenir, et les efforts pour développer un vaccin ont été abandonnés.

De nombreuses études en laboratoire ont montré que la plupart des virus des voies respiratoires supérieures, dont 200 rhinovirus, picornavirus, virus respiratoires syncytiaux, virus grippaux et coronavirus différents, périssent rapidement à des températures légèrement chaudes de l’air. Plusieurs études de survie au coronavirus du SRAS ont conclu qu’on le tue facilement en moins de 15 minutes à 56° C ou 133° F.

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(Une copie des études ci-dessous s’affiche à l’écran) :

http://hindawi.com/journals/av/2011/734690/

http://who.int/csr/sars/survival_2003_05_04/en/

• Biomed Environ Sci 2003 Sep: 16 (3): 246-55

• J Med Virol, 23 (3), 297-301 nov. 1987

• Journal of Virology, février 1968, p. 149-154

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Alors qu’ils chauffaient lentement le virus en laboratoire, les chercheurs ont observé que la membrane externe commençait à se rompre et, en quelques minutes, elle s’est mortellement effondrée, méconnaissable et incapable de récupération ou de toute autre infection [images de dissolution ici]. L’efficacité scientifique de la destruction des virus indésirables par l’application d’une chaleur modérée est maintenant bien établie et est régulièrement utilisée lors de la production de divers médicaments et vaccins. Le même processus pourrait être utilisé avec les patients si nous pouvions augmenter suffisamment la température des sinus d’un patient. Le virus mourrait, les symptômes et l’infectiosité cesseraient, et l’épidémie serait terminée.

Le corps humain lorsqu’il est infecté par un virus grave tente de le faire par lui-même en produisant de la fièvre. Cette réponse de chauffage naturelle ne peut augmenter la température centrale que de quelques degrés. Mais même cette légère augmentation de température est suffisante pour commencer à ralentir de manière mesurable le taux de reproduction du virus et à gagner un temps précieux pour que le corps commence à fabriquer des anticorps qui peuvent cibler les virus envahissants et à produire de l’interféron qui renforce encore les défenses antivirales des cellules.

Nous pouvons améliorer considérablement ces avantages naturels en utilisant une source de chaleur externe pour faire quelque chose que le corps ne peut pas faire par lui-même – chauffer les cavités des sinus juste au-dessus de la température mortelle pour le coronavirus. Parce que les sinus ne sont, au maximum, qu’à quelques centimètres des narines, cela est facilement accompli, sans danger ni risque pour le patient, en respirant simplement de l’air chaud. Soudain, la partie la plus fraîche du corps devient la partie la plus chaude du corps et dans cet environnement désormais hostile, les virus envahissants fondent presque littéralement. Mais qu’en est-il du patient? Pouvons-nous survivre à l’exposition à ces températures? Non seulement la réponse est oui, mais les gens le font déjà quotidiennement, partout dans le monde, lorsqu’ils entrent dans un sauna sec.

Respirer profondément pendant seulement 20 minutes dans un sauna chaud tuera un pourcentage élevé de tout virus envahissant les voies respiratoires supérieures. La plupart des gens ressentent un soulagement presque immédiat. Cependant, parce que certains virions individuels — c’est le terme pour les cellules virales individuelles — peuvent être temporairement protégés de l’afflux direct d’air chaud par des obstacles naturels dans les sinus, certains d’entre eux pourraient réussir à survivre et à se reproduire plus tard, permettant à l’infection de continuer.

Heureusement, la couche muqueuse qui recouvre l’intérieur des sinus ne reste pas stationnaire. Elle est constamment entraînée par le doux mouvement des vagues de minuscules cils ressemblant à des cheveux qui poussent sur les parois des sinus, qui poussent lentement ce revêtement de mucus, ainsi que les microbes qui peuvent y être piégés, vers l’arrière puis dans la gorge, pour être finalement détruits par l’acide dans l’estomac. Ce mouvement lent exposera progressivement tous les virions persistants qui pourraient avoir été temporairement protégés. Ensuite, en soumettant les sinus à une deuxième ou même une troisième vague d’air chaud, lors d’une visite ultérieure au sauna, il est possible de tuer efficacement tout virus restant, mettant ainsi définitivement fin à l’infection.

Bien que quelques types de coronavirus, tels que les deux coronavirus du SRAS, semblent pouvoir survivre dans les poumons d’un très faible pourcentage de patients, l’infection initiale commence toujours dans les sinus et y persiste généralement pendant deux jours à deux semaines, avant de progresser plus loin. Et c’est dans les sinus que le virus envahissant est le plus facilement vaincu. Seulement 20 minutes, dans un sauna sec, à 60 ° C ou plus (140 ° F), est suffisant pour tuer la plupart des coronavirus dans les sinus d’un patient. Notez que les températures typiques du sauna sont souvent encore plus élevées que cela. Ensuite, le refroidissement pendant 40 minutes permet à la température corporelle et à la fréquence cardiaque de revenir à la normale. Enfin, continuer avec seulement deux de ces cycles de 20 minutes de chauffage, puis 40 minutes de refroidissement, devrait tuer tout coronavirus restant. Une fois le virus disparu, les symptômes disparaissent également rapidement.

Qu’en est-il des situations où les saunas ne sont pas disponibles ? Eh bien, il s’avère qu’il existe un moyen encore plus facile d’éradiquer l’infection de coronavirus chez les patients, ainsi que les professionnels de la santé et d’autres personnes qui peuvent avoir été exposées au virus mais qui ne présentent pas encore de symptômes. Le séchoir à main portable, largement disponible, utilisé pour sécher les cheveux contient un élément chauffant et un ventilateur qui peuvent fournir instantanément des températures d’air forcé égales ou supérieures au seuil de température d’éradication pour les coronavirus.

Cette approche offre l’avantage supplémentaire important de pouvoir concentrer la chaleur uniquement sur la zone infectée du corps – le nez et les sinus. Ainsi, il peut être utilisé en toute sécurité même si un patient a déjà de la fièvre. Contrairement à l’air immobile dans un sauna, les sèche-cheveux déplacent le chaud rapidement – comme dans l’environnement d’un four à convection — chauffant la zone cible (le nez et les sinus) beaucoup plus rapidement qu’un sauna. Ainsi, l’exposition nécessaire est considérablement plus courte.

Cette thérapie simple et auto-administrée, connue sous le nom de procédure d’arrêt à froid, a été proposée pour la première fois dans le livre Conquérir le rhume et la grippe communs, publié par Future World Press en 1984. Depuis lors, elle a été testée et utilisée avec succès dans plus de 55 pays avec un taux de réussite extrêmement élevé.

Compte tenu de la situation dramatique à laquelle nous sommes actuellement confrontés, avec des infections dans des dizaines de pays et des milliers de décès, voici une description détaillée de la procédure d’arrêt à froid d’origine avec les heures et températures suggérées soigneusement optimisées pour l’éradication des coronavirus :

1) Tournez le sèche-cheveux au réglage le plus bas, puis passez les doigts sur l’entrée d’air pour ralentir le flux d’air et augmenter sa température de sortie.

2) De l’autre main, utilisez un chiffon humide ou un vaporisateur rempli d’eau pour humidifier fréquemment la surface du visage autour du nez et de la bouche. Le flux d’air chaud provoque l’évaporation de l’eau, gardant le visage et le nez frais tout en permettant à la chaleur de pénétrer profondément dans le nez et les sinus. Respirez lentement et profondément par le nez, bouche fermée, pendant 5 minutes. Pour minimiser tout inconfort, mettez le sèche-cheveux de côté entre les respirations afin que l’air chaud soit dirigé vers le visage et le nez uniquement pendant l’inhalation. Si l’air est tiède, mais pas chaud, essayez un réglage de chaleur plus élevé. L’objectif est d’élever l’intérieur du nez et des sinus à la température de destruction du coronavirus d’au moins 56 ° C (133 ° F) pendant toute la période de traitement. Donc, utilisez la température la plus élevée que vous pouvez tolérer en toute sécurité.

3) Faites une pause entre les applications de chaleur pendant environ une heure. Cela laisse le temps au mouvement naturel de la couche de mucus dans les sinus de repositionner tout virus potentiellement protégé vers un endroit plus exposé où il peut être chauffé et détruit.

4) Après la période de refroidissement, commencez un autre traitement à l’air chaud de 5 minutes. Si aucun symptôme n’est apparu, deux cycles de chauffage par jour devraient suffire pour la prévention. Cependant, si les symptômes se sont déjà développés, trois à cinq de ces cycles alternatifs de chauffage / refroidissement par jour sont recommandés, jusqu’à disparition des symptômes.

Si elle est largement utilisée comme étape de prévention supplémentaire, avec le port d’un masque et le lavage des mains, cette thérapie d’hyperthermie Arrêt à Froid a le potentiel d’aider à stopper toute nouvelle propagation de Covid-19. Il offre également un avantage psychologique important à ceux qui sont actuellement en isolement, en quarantaine ou en confinement pour une période d’incubation virale prolongée. Au lieu d’attendre, impuissant, pour voir si des symptômes se développent, les patients peuvent jouer un rôle proactif en exterminant tout virus éventuellement présent.

Il est également important de se rappeler que jusqu’à la fin de la saison actuelle de rhume et de grippe dans l’hémisphère Nord, les 400 autres virus responsables du rhume connus continueront d’être actifs. Les symptômes que ces autres virus produisent sont souvent indiscernables d’un cas de Covid-19, au moins à ses débuts. Étant donné que ces autres virus provoquant le froid ont tendance à mourir en beaucoup moins de temps et à des températures encore plus basses que les coronavirus, l’utilisation quotidienne de la procédure d’arrêt à froid peut également empêcher presque toutes les autres infections virales provoquant le froid. Cela permettra aux personnes vivant dans les zones d’infection d’éviter le développement de symptômes respiratoires évidents qui pourraient autrement les détourner des magasins, des entreprises ou des lieux de travail.

La protection contre les rhumes peut être encore améliorée en maintenant le système immunitaire fort en prenant beaucoup de repos, en buvant au moins un litre (pinte) ou deux d’eau pure chaque jour et en mangeant beaucoup de fruits et légumes. L’épuisement physique pose un risque potentiellement mortel pour les travailleurs de la santé ou toute personne travaillant de longues heures dans les zones infectieuses. Ne prenez pas le risque de vous fatiguer.

Il est également important de maintenir la consommation d’alcool, ainsi que de tous les aliments contenant du sucre ajouté aussi bas que possible – car ceux-ci se sont révélés, dans de nombreux tests scientifiques, épuiser les ressources du système immunitaire. Et surtout, évitez le comportement à très haut risque de fumer ou de vapoter aussi longtemps que la menace d’épidémie persiste. Bien que Covid-19 ne semble produire que de légers symptômes du rhume chez la plupart des patients, ceux dont les poumons sont compromis semblent être les plus à risque de complications pouvant entraîner la mort.

Si les autorités sanitaires peuvent l’empêcher de se propager à l’hémisphère sud, l’épidémie actuelle de Covid-19 devrait se résorber d’elle-même car les températures extérieures commenceront à se réchauffer fin avril ou début mai, tout comme la précédente épidémie de coronavirus du SRAS, il y a 17 ans. Cependant, cette procédure d’une simplicité trompeuse a le potentiel de mettre fin à cette épidémie beaucoup plus tôt et peut-être de sauver d’innombrables vies supplémentaires.

Les professionnels de la santé sont instamment invités à utiliser la procédure d’arrêt à froid pour accélérer le rétablissement de leurs patients existants et pour prévenir de nouvelles infections chez les autres ainsi qu’eux-mêmes. Et toutes les personnes en quarantaine ainsi que celles qui vivent dans des zones d’infection et qui entrent en contact régulièrement avec d’autres personnes susceptibles d’être infectées sont encouragées à utiliser cette procédure préventive d’arrêt à froid deux fois par jour, et à la partager avec d’autres pour aider à empêcher de tout nouveaux cas de Covid-19 de se développer.

En raison de leur capacité à se transformer en une souche génétiquement nouvelle à laquelle personne n’est immunisé, les coronavirus déclenchent régulièrement des pandémies régionales tous les deux ou trois ans. Alors que la plupart de ces événements sont bénins, ne produisant rien de plus qu’une grande vague de rhumatismes courants, les souches les plus meurtrières telles que les deux coronavirus du SRAS peuvent créer des situations mortelles qui attirent l’attention internationale.

Les futures épidémies de coronavirus sont presque inévitables. Mais, dans chaque cas, ces cousins ​​coronavirus seront susceptibles de partager la même vulnérabilité. Si les prestataires de soins de santé administrent immédiatement la thérapie thermique Arrêt à Froid et que les autorités sanitaires distribuent des séchoirs à air chaud et des flacons pulvérisateurs à ceux qui ne les ont pas déjà — s’ils sont en quarantaine ou vivent dans des zones d’infection avec un lien vers cette vidéo — ou offrent des instructions sur l’utilisation de ce traitement thermique facile et auto-administré, il pourrait être tout à fait possible d’empêcher que de futures flambées ne redeviennent des pandémies régionales ou internationales de coronavirus.

FIN DE LA NARRATION.

Transcription par Future World https://future-world.com/mcatalog/stop-covid-19-now/

Traduit de l’anglais par BibiCabaya (20 mars 2020).

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Les Notes de BibiCabaya :