Par Liliane Held-Khawam
Les bricoleurs de virus nous posent un problème de sécurité nationale et même mondiale
Alors que l’on nous promet Paix-Prospérité-Sécurité, avec le sous-entendu que la Communauté internationale ne veut plus de guerre, celle-ci a oublié de contrôler ce qu’il se passait dans ses laboratoires de haute sécurité, leur finalité, et les risques qu’ils font prendre à l’humanité toute entière.
Dans cet article, nous découvrons comment trois laboratoires de recherche «scientifique» ont bricolé les virus pour «augmenter» le H5N1 et le rendre contagieux entre humains. On croît rêver, mais il semblerait que la liquidation d’une partie de l’humanité par un virus invisible ne fasse pas peur aux têtes dirigeantes de la Communauté internationale. Non seulement, ils ont laissé faire, mais la plupart des sociétés savantes sont restées silencieuses. Quant aux autorités américaines, qui fournissent l’essentiel des fonds permettant ces travaux via le National Institute of Health [Institut National de la Santé], elles ont rendu publiques, en mars 2013, une série de directives embarrassées «qui sont en fait des tergiversations se résumant à dire “Surtout, soyez prudents !”, estime Roberto Kolter (un scientifique de renom.» (Le Monde 2013)
Certaines personnes impliquées dans ce scandale veillent aujourd’hui sur la santé publique et sont impliquées dans les recherches concernant le Covid-19. On fait mieux pour rassurer…
D’ailleurs, à propos du Covid, c’est France Soir qui offre le scoop du jour !
Il nous révèle qu’un virus COVID synthétique hautement pathogène pour l’être humain fut créé par l’institut de virologie de Wuhan et les États-Unis. Dans ce texte, le journal nous présente un texte scientifique tout à fait hors norme qui décrit la fabrication d’un virus COVID synthétique chimérique viable et hautement pathogène pour l’homme au prétexte d’étudier le potentiel pandémique des coronavirus d’origine animale dont les chauves-souris sont un réservoir naturel.
On peut se demander qui parmi les autorités de santé qui conseillent le gouvernement est au courant de l’existence de cette recherche et de ce fait des manipulations très dangereuses sur les coronavirus qui ont eu lieu en Chine et aux EU ?
France Soir nous indique que l’un des deux savants responsables du bricolage travaille pour le laboratoire de microbiologie de l’Université de Chapel Hill (Caroline du Nord). Or nous trouvons cette université dans le programme de financement de la fondation Gates, qui a la main sur la santé publique mondiale. Des sommes incroyables sont dédiées à cette université.
Alors nous ne pouvons que nous offusquer quand le journal suisse Le Matin, qui a le mérite de toucher abondamment le grand public traite de conspirationnistes ceux qui veulent comprendre l’obsession d’un techno-financier à faire vacciner l’humanité.
Le débat autour de son omniprésence dans toutes les allées qui touchent de près ou de loin à la santé publique, y compris quand il s’agit de financer des bricoleurs de virus, pose un problème de sécurité nationale et même planétaire, que les médias financiarisés veulent rendre tabou. Pour cela, il suffit de diffuser massivement le fait que cela relève de la théorie du complot.
«Le rôle de la Fondation Bill et Melinda Gates dans la gestion mondiale de l’épidémie du coronavirus fait partie des théories du complot les plus répandues, particulièrement dans les milieux de droite et proche de Donald Trump. Selon ces allégations, le milliardaire fondateur de Microsoft serait même à l’origine de la pandémie, il aurait pour objectif de vouloir imposer au genre humain une forme de puce à injecter sous la peau ou encore de réduire le nombre d’habitants sur la planète.» Le Matin
Évidemment, il n’est pas demandé à l’équipe du Matin d’analyser les publications, ni le financement d’une certaine science. Toutefois, ce journal dont se nourrit l’essentiel des citoyens suisses romands se devrait de respecter ceux qui ne se satisfont pas des informations émanant de ses financeurs.
Après avoir décrédibilisé toute voix discordante, l’article nous explique que non la Confédération ne finance pas Bill Gates. Selon le conseiller fédéral Ignazio Cassis, ancien lobbyiste des assureurs et partisan du cannabis «la fondation du milliardaire américain est à but non lucratif et n’a pas besoin de donateurs.» Cette phrase ne semble pas avoir de sens. D’ailleurs, nous avons vu dans nos précédentes publications que cette fondation et son satellite le Gavi pratiquent des levées de fonds massives auprès des magnats de la planète finance, mais aussi des États afin de financer les projets de vaccination par exemple.
Plus loin le conseiller fédéral reconnaît que : «Son rôle [la fondation] est de soutenir des initiatives mondiales pour lutter contre la pandémie de Covid 19 dans les pays en développement.» Dans ce contexte, le conseiller fédéral admet toutefois que le DFAE [Département Fédéral des Affaires Étrangères] travaille avec la fondation «pour financer et conseiller les organisations qui développent des médicaments, des diagnostics et des vaccins, et qui permettent notamment aux populations des pays en développement d’y accéder.» Si la situation n’était pas aussi grave, nous aurions eu presque envie de rire de la construction du message publié !
Suite de l’article, publié le 19 juin 2020, sur Le Grand Soir : https://www.legrandsoir.info/les-bricoleurs-de-virus-nous-posent-un-probleme-de-securite-nationale-et-meme-mondiale.html
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