CELA DEVIENT-IL DE PLUS EN PLUS CLAIR ? đ đ đ đ đ đ !!!
La Nouvelle-ZĂ©lande prĂ©fĂšre assassiner les habitants plutĂŽt que de leur administrer de lâhydroxychloroquine, de lâazithromycine ou de lâivermectine đđđđđ pour les soigner du covid !!! Il y aurait vraiment de quoi rire si ce nâĂ©tait pas si tragique. Ils ne cachent mĂȘme plus leur agenda gĂ©nocidaire⊠ILS VEULENT TUER. POINT. On note quâil revient Ă ceux dont câest lâagenda dâexterminer de dĂ©cider si le patient va sâen sortir ou pas. Câest tout vu : il a toutes ses chances đđđđđ !!!
La Nouvelle-ZĂ©lande approuve lâeuthanasie pour les patients du COVID
Par Simon Caldwell
Les patients admis Ă lâhĂŽpital avec le COVID-19 peuvent mourir par euthanasie si les mĂ©decins dĂ©cident quâils ne survivront pas, a dĂ©clarĂ© le gouvernement nĂ©o-zĂ©landais.
Le ministĂšre de la SantĂ© a confirmĂ© que le droit Ă lâinjection lĂ©tale prĂ©vu par la nouvelle loi sur lâeuthanasie pourrait sâappliquer aux patients qui sont en train de mourir du coronavirus ou qui souffrent de maniĂšre insupportable de ses consĂ©quences.
En rĂ©ponse Ă une demande de clarification de la loi sur lâeuthanasie entrĂ©e en vigueur le mois dernier, le gouvernement a dĂ©clarĂ© que âdans certaines circonstances, une personne atteinte du COVID-19 peut bĂ©nĂ©ficier de lâaide Ă mourirâ.
Henoch Kloosterboer, rĂ©dacteur en chef du site Web anti-euthanasie The Defender, a admis que les patients COVID pouvaient bĂ©nĂ©ficier dâune injection lĂ©tale aprĂšs avoir fait une demande en vertu de lâOfficial Information Act, lâĂ©quivalent nĂ©o-zĂ©landais de la loi sur la libertĂ© dâinformation de 2000.
Il a dĂ©clarĂ© que cette politique laissait âla porte grande ouverte aux abusâ Ă lâencontre des patients ĂągĂ©s et vulnĂ©rables, en particulier si le service de santĂ© du pays Ă©tait soumis Ă la pression dâune vague de COVID.
Il a dĂ©clarĂ© : âIl ne serait pas difficile dâenvisager une situation dans laquelle une augmentation rapide et importante des hospitalisations liĂ©es au COVID-19 pourrait entraĂźner une pression en faveur du recours Ă lâeuthanasie et au suicide assistĂ© comme outils pour rĂ©soudre une crise aussi grave.â
La loi sur lâeuthanasie, a-t-il ajoutĂ©, âa maintenant rendu la pandĂ©mie de COVID-19 potentiellement encore plus dangereuse pour les habitants dâAotearoa Nouvelle-ZĂ©landeâ.
La loi de 2019 sur le choix de la fin de vie est considĂ©rĂ©e comme lâune des lois sur lâeuthanasie les plus extrĂȘmes au monde, et ses dĂ©tracteurs affirment que les garanties sont si minces quâelles peuvent ĂȘtre facilement contournĂ©es.
Elle autorise Ă la fois lâeuthanasie et le suicide assistĂ© pour les adultes souffrant dâune maladie qui serait en phase terminale dans les six mois, ou qui sont dans un Ă©tat avancĂ© de dĂ©clin physique irrĂ©versible ou qui souffrent de maniĂšre insupportable.
La loi, ratifiĂ©e Ă la suite dâun rĂ©fĂ©rendum en 2020, garantit Ă tous les rĂ©sidents le droit dâaccĂ©der Ă un mĂ©decin qui les tuera dans un dĂ©lai aussi court que quatre jours Ă compter de la rĂ©ception dâune demande.
Les mĂ©decins reçoivent une rĂ©munĂ©ration gouvernementale de 1 000 dollars plus les frais pour chaque dĂ©cĂšs par euthanasie quâils effectuent.
Cependant, seuls 96 des 16 000 mĂ©decins du pays ont proposĂ© de participer au projet, et les 32 hospices du pays, Ă lâexception dâun seul, ont indiquĂ© quâils nâautoriseraient pas lâeuthanasie.
La seule exception â lâhospice Totara Ă South Auckland â a acceptĂ© dâallouer un espace dans ses locaux pour cette pratique, mais son personnel sâopposera en toute conscience Ă toute participation.
Au Royaume-Uni, la baronne Finlay de Llandaff, professeur de mĂ©decine palliative, a dĂ©clarĂ© que la loi nĂ©o-zĂ©landaise sur lâeuthanasie contredisait lâobjectif fondamental de la mĂ©decine et des services de santĂ©, qui est de guĂ©rir les malades.
Elle a dĂ©clarĂ© : âIl est bizarre quâun pays qui a essayĂ© de protĂ©ger ses citoyens en se fermant complĂštement Ă un virus dont les gens peuvent se remettre complĂštement ⊠suggĂšre maintenant que ces patients devraient ĂȘtre tuĂ©s par leurs mĂ©decins.
âCela renverse lâĂ©thique de la mĂ©decineâ, dit-elle.
âOn ne peut vraiment pas prĂ©voir la mort Ă 100 %â, a-t-elle ajoutĂ©. âAlors pourquoi ne pas les soutenir pendant quâils sont en train de mourir et laisser la porte ouverte au cas oĂč ils feraient partie du groupe qui dĂ©fie toutes les probabilitĂ©s et se rĂ©tablit complĂštement ?â.
Ă lâheure actuelle, la baronne Meacher cherche Ă lĂ©galiser le suicide assistĂ© en Angleterre et au Pays de Galles par le biais de son projet de loi sur lâaide Ă la mort, qui a fait lâobjet dâune deuxiĂšme lecture Ă la Chambre des Lords en octobre.
La pair de lâopposition, qui prĂ©side le groupe de campagne Dignity in Dying, a Ă©galement dĂ©posĂ© un amendement au projet de loi sur la santĂ© et les soins sociaux afin de faire du suicide assistĂ© une partie des soins palliatifs.
En Ăcosse, Liam MacArthur, dĂ©putĂ© libĂ©ral dĂ©mocrate, a lâintention de prĂ©senter un projet de loi sur le suicide assistĂ© et, Ă Jersey, les politiciens ont acceptĂ© le mois dernier le principe de la lĂ©galisation du suicide assistĂ© et de lâeuthanasie.
LâĂ©crasante majoritĂ© des praticiens des soins palliatifs et les 12 organisations de dĂ©fense des droits des personnes handicapĂ©es au Royaume-Uni sâopposent toutefois farouchement Ă une modification de la loi.
Ils affirment que le suicide assistĂ© et lâeuthanasie seraient discriminatoires et dangereux et quâils pourraient donner lieu Ă des abus, indĂ©pendamment de toute garantie, ce qui constituerait une grave menace pour la sĂ©curitĂ© des patients et des autres personnes vulnĂ©rables.
Ils affirment Ă©galement que lâexpĂ©rience dâautres pays suggĂšre que mĂȘme une loi modeste sur le suicide assistĂ© servirait de tĂȘte de pont pour des amendements plus larges et libĂ©ralisants qui supprimeraient les garanties initiales en tant que âbarriĂšres Ă lâaccĂšsâ.
Le mois dernier, il a Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ© que Nancy Russell, une Canadienne de 90 ans, a choisi de mourir par suicide assistĂ© plutĂŽt que de subir un autre enfermement COVID dans sa maison de soins qui lâaurait isolĂ©e de ses amis et de sa famille.
Source : Catholic Hérald, publié le 20 décembre 2021 https://catholicherald.co.uk/new-zealand-okays-euthanasia-for-covid-patients/
Partagé par Profession Gendarme, publié le 29 décembre 2021 /5644dae4c24efa9ef336cb3bd858d246/la-nouvelle-zelande-approuve-leuthanasie-pour-les-patients-du-covid/ Traduit avec http://www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
*
*
*
*