FRANC-MAÇONNERIE : “SOCIÉTÉ CIVILE” OU DANGER PUBLIC ? [MàJ]

Franc-maçonnerie 4

Au vu des actes criminels constamment commis par cette secte de rapaces, sans que remède ne soit jamais apporté aux victimes, il s’agit plus sûrement d’un danger public.

Mise à jour du 01 juillet 2018 en rouge (voir fin d’article).

Coluche et les métiers

 

L’EXPÉRIENCE PERSONNELLE D’UN GENEVOIS

Lire et écouter la suite : textes et vidéos.

TERRORISME MAÇONNO-JUDICIAIRE EN FRANCE

Hubert van den Torren — autrefois chef d’une entreprise performante, et inventeur — a été réduit à la misère (il vit du RSA et de dons aujourd’hui) : son entreprise a été réduite en cendres par deux incendies criminels successifs et son brevet volé par des franc-maçons réunis en bande organisée de criminels sur Béziers (avec la participation active du système judiciaire maçonnique)… Voir son Facebook et son blog (il a monté une association de défense contre la corruption judiciaire). Le Conseil Supérieur de la Magistrature (autre repaire de francs-maçons) est parfaitement au courant de TOUS CES CRIMES AINSI QUE DE L’IDENTITÉ DES AUTEURS DE CES CRIMES et pourtant la situation n’a toujours pas changé pour Hubert van den Torren, alors que les criminels qui l’ont mis sur la paille et détroussé jouissent encore aujourd’hui — soit PLUS DE DIX ANS PLUS TARD — et en toute impunité des retombées financières et matérielles de leurs crimes.

«J’en ai marre de ces enculés, de cette justice qui couvre des criminels qui sont toujours en place dans les tribunaux.» ~
Hubert van den Torren

Hubert van den Torren est l’auteur de trois ouvrages sur son affaire dont le premier est intitulé L’Affaire Deville du nom du magistrat corrompu, Brigitte Deville, qui gagne toujours sa vie au tribunal de Béziers quand n’importe qui d’autre aurait été remercié, sans ménagement, pour moins… C’est à cela que l’on reconnaît la “République”…

Ouvrages d'Hubert van den Torren

André Laborie relate son parcours épique aux mains de cette mafia maçonnique.

René FORNEY : preuves des rouages mafieux dans toutes les institutions françaises : les intérêts particuliers, les “renvois d’ascenseurs” dictent la conduite de certains ripoux de la police, avocats, experts, avoués, huissiers, juges… Avec une quasi impunité, tous les moyens illégaux et ententes sont utilisés.

Et tous ceux qui n’ont pas les moyens de se faire entendre ni de se défendre contre cette pieuvre soi-disant “étatique” qui n’est, en fait, qu’un ramassis d’entités privées toujours prêtent à frapper pour se remplir les poches…

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