Vidéo publiée par Commandant AUBENAS le 25 janvier 2019.
La fiscalité c’est du vol, le vol c’est de l’esclavage
La fiscalité est l’expression selon laquelle un groupe spécifique de gens qui se font appeler “gouvernement” (une mafia) serait douée d’un “droit” ou se serait fait “déléguer” un “droit” suite à l’élaboration de “lois” prévoyant la confiscation d’un pourcentage arbitrairement établi du produit du travail d’autrui contre son gré.
Quand le gouvernement décide d’augmenter les impôts/taxes de x%, la plupart des gens paient parce qu’ils reconnaissent, de façon assez nébuleuse pour certains ou moins nébuleuse pour d’autres, qu’ils sont soumis à la contrainte. Ils sont en réalité condamnés à mort (la pauvreté tue) et s’entendent dire que s’ils ne paient pas sous le commandement de ces gens qui confisquent le fruit de leur travail, une forme de violence leur sera infligée : soit sous la forme d’une amende qui les privera de davantage de leurs ressources (majoration), soit sous la forme de plus d’emmerdes (contrôle fiscal) ou encore de poursuites judiciaires et, dans certains pays, une peine d’emprisonnement (perte de liberté).
Si notre argent nous appartient dans la mesure où il résulte de notre labeur, c’est-à-dire de toutes ces activités que nous entreprenons et menons à bien, ainsi que de l’énergie et du temps (vie) que nous dépensons pour en gagner, cela devrait signifier que nous en sommes les propriétaires. Et rares sont ceux qui désirent se défaire de leur argent durement gagné pour qu’il se retrouve dans les poches de ceux pour qui il ne représente que du superflu ou pour soutenir des projets auxquels ils ne souscrivent pas…
L’imposition/taxation n’est pas un processus volontaire : c’est un processus qui comporte la coercition. L’imposition/taxation est renforcée par la menace de violence si les personnes sur lesquelles le produit est saisi tentent de résister à cette confiscation.
Pour illustrer cette violence, le cas de Thierry Borne, ancien chef d’entreprise, vient à l’esprit. Il ne s’agit pas ici d’un exemple concernant spécifiquement les impôts mais il illustre la violence infligée à ceux qui agissent hors des clous de ceux qui confisquent : Thierry Borne refusait de s’inscrire à la Caisse de Sécurité Sociale dans la mesure où il avait déjà une autre couverture sociale alternative tout à fait légale et légitime. Le gouvernement a fait vendre son OUTIL DE TRAVAIL aux enchères pour une bouchée de pain de façon tout à fait illégale et illégitime (les documents nécessaires à cette saisie-vente n’existaient pas), le laissant sur le carreau… L’exercice consistait surtout à lui clouer définitivement le bec afin qu’il ne fasse pas d’émules et qu’il comprenne qui est son maître.
Cette violence est toujours “justifiée” (justifier signifie “créer un droit”) par ceux qui s’octroient des “droits” qui n’existent pas : il n’existe, dans tout l’Univers, aucun droit de s’approprier le bien d’autrui. Ce droit n’existe pas pour un individu, et donc il ne peut exister pour un groupe d’individus, fût-il dénommé “gouvernement”… car la nature d’un droit ne change pas selon le nombre d’individus concernés. Quand un groupe d’individus s’acharne à vous voler votre bien, ce groupe est une MAFIA même s’il s’appelle gouvernement.
Donc, la confiscation du produit du travail d’autrui et la violence qui l’accompagne sont considérées comme un “droit” par ceux qui prétendent cette confiscation nécessaire au “bien commun”. En fait de “bien commun”, ce que nous observons en réalité c’est que cet argent se faufile régulièrement dans des poches privées de gens bien nantis : les banques, les politiciens menant royal train de vie, leurs supplétifs utiles qu’il faut récompenser de leurs loyaux services avec des postes bien payés, de généreuses retraites, des avantages de toutes sortes, etc. : cela coûte un prix, et il faut bien admettre que même si elle participe de la reconnaissance des services rendus, une médaille, fût-elle, de la Légion d’Honneur, n’achète pas l’hôtel particulier tant convoité… rien ne remplace les sonnantes et trébuchantes.
Voici une définition du terme esclavage : la confiscation, contre le gré d’autrui et sous la menace de violence, de 100% des fruits de son travail. Bien sûr, on pourrait trouver une autre définition qui inclurait enchaîner les gens et de leur mettre des carcans, mais si nous sommes honnêtes avec nous-mêmes, nous savons que le but premier de l’esclavage est de faire travailler les gens gratuitement et de saisir, pour son propre compte, le fruit de leur labeur. C’est pour cette raison qu’on a perpétré l’esclavage…
Donc, si nous définissons l’esclavage comme une confiscation de 100% du produit du travail d’un être humain, nous devrions clairement voir qu’il n’existe aucun pourcentage magique vers lequel abaisser ce chiffre pour que ce ne soit plus de l’esclavage. Posons-nous la question suivante : à quel niveau faudrait-il abaisser ce pourcentage pour que ce ne soit plus de l’esclavage ? La réponse : à ZÉRO.
Beaucoup de gens cherchent à justifier cette confiscation en disant «mais, c’est utile pour des services publics»… des services que personne n’a le droit de refuser, comme le démontre le cas de Thierry Borne… Pensez-y une minute : qu’a-t-on enlevé à Thierry Borne ? Le droit de choisir = son libre arbitre. C’est cela l’esclavage. Thierry a été mis en demeure d’opter pour la Sécu. Cela s’appelle LA CONTRAINTE. La contrainte c’est quand une menace de violence est proférée, d’une part, et/ou exécutée, d’autre part, afin d’obtenir quelque chose de quelqu’un, et qu’il se conforme à la volonté de celui qui menace. Et nous sommes TOUS sous la contrainte.
Toutes les formes de taxation et d’imposition sont de la contrainte. C’est un cours magistral qui consiste à dire aux gens «vous n’avez aucun droit de refuser la confiscation arbitraire du fruit de votre travail que nous estimons nécessaire pour la raison que nous évoquons.» Comment donc pourrions-vous revendiquer la propriété de notre maison, par exemple, si nous payons une taxe foncière ? Le “gouvernement” (il s’agit d’un groupe d’intérêts privés) déclare «pour les services que nous fournissons à cette communauté, vous devez payer ce pourcentage d’impôts/taxes et si vous refusez, vos maisons seront saisies et vendues aux enchères…»
Il existe un terme pour désigner le fait qu’une société n’a pas de véritables droits de propriété et qu’une “classe supérieure” de “maîtres” est propriétaire de la terre et de l’immobilier, et seulement “autorise” la classe paysanne/ouvrière/moyenne à vivre dans les lieux aussi longtemps que cette dernière paiera un tribu à la “classe supérieure”… Quel est ce système de gouvernement ? C’est la féodalité. Et c’est cela le système de gouvernement de presque toutes les nations de la Terre aujourd’hui. Nous vivons sous le régime féodal. La démocratie n’existe pas, pas plus qu’une république constitutionnelle. Le type de gouvernement de facto actuel est le système féodal.
Le terme féodalité est un euphémisme pour ESCLAVAGE parce que les esclaves ne sont pas autorisés à accéder à la propriété ni a conserver le produit de leur travail. C’est ce que nous vivons actuellement… Donc, l’imposition/taxation est tout simplement un euphémisme pour vol, violence et esclavage car ce sont les pratiques sur lesquelles elle est basée, et dans la mesure où aucun individu nulle part dans l’Univers n’a le droit de posséder le produit du travail d’un autre être humain (Loi Naturelle), ce comportement ne peut pas être “délégué” à un groupe de gens ni être qualifié de “droit”, sous prétexte que ce groupe se fait appeler “gouvernement”.
Logiquement, toutes les formes de taxation/imposition (impôts indirects, taxe foncière, impôts sur les dons, droits de succession, impôt sur le revenu, impôt sur les sociétés, etc.) sont toujours des TORTS selon la Loi Naturelle car elles sont toutes basées sur la destruction du libre arbitre, sur la coercition et sur la violence, lesquelles sont toutes des actes répréhensibles, lesquels sont tous des formes de VOL qu’aucun individu n’a aucun droit d’exercer sur autrui. Et pourtant, beaucoup de gens croient que de telles actions peuvent, par magie, être transformées en droits sous prétexte que l’euphémisme “taxation/imposition” est utilisé…
Beaucoup de gens s’imaginent que le “gouvernement” aurait des droits que les autres gens n’auraient pas… c’est ce qui s’appelle le contrôle mental. Le contrôle mental consiste à faire accepter aux gens la proposition mensongère selon laquelle certaines personnes auraient des droits que d’autres n’auraient pas. Posez-vous la question suivante : «Telle personne peut-elle avoir une telle revendication à mon encontre ? » Si vous trouvez que telle personne n’a pas le droit d’avoir cette revendication, comment un groupe de gens aurait-il ce droit ? Il faut bien comprendre qu’il n’existe nulle part dans l’Univers un “droit” de quiconque (que ce soit un individu ou un groupe d’individus) d’empêcher autrui d’exercer ses droits car chacun naît avec strictement les mêmes droits. Une telle approche relève tout simplement de la coercition, de la violence et du vol, autrement dit de la criminalité.
Lettre de Gérald Darmanin, ministre de l’Action et des Comptes Publics, reçue le 14 janvier :
Ma réponse reçue le 24 janvier :
Gérald Darmanin
c/o MINISTÈRE DE L’ACTION ET DES COMPTES PUBLICS
139 rue de Bercy
75572 Paris Cedex 12
Lundi 21 janvier 2019
Votre réf. : xxxx
Lettre recommandée AR N°xxxxx
NOTIFICATION
Monsieur Darmanin,
J’accuse réception, le 14 janvier 2019, de votre courrier en date du 28 décembre (pas de cachet de La Poste) m’avisant que «À compter de janvier 2019, votre impôt sur le revenu sera automatiquement prélevé “à la source”, c’est-à-dire directement et mensuellement de votre feuille de paye ou de retraite.»… et que «C’est une grande avancée de simplification de la part de l’administration.»
Ceci n’est pas une “avancée” mais une tentative frauduleuse et inconstitutionnelle de ponction forcenée dans la mesure où l’impôt en France doit être consenti (d’où la déclaration de revenus) comme le prévoit la Constitution en son préambule de 1946 que la loi de finance de 2016 qui instaure ce prélèvement à la source ne peut modifier. Ceci signifie que tout membre de la population peut légalement et légitimement refuser de donner son consentement à l’impôt sur le revenu, et à l’impôt tout court, et donc refuser de le payer s’il estime cette voie juste… et, précisément, je n’y consens pas.
La raison de mon refus est simple et légitime : l’impôt — qui normalement devrait servir à améliorer les infrastructures du pays à l’usage de la population pour son bien-être, et à améliorer la vie des Hommes et des Femmes vivant sur ce territoire — est utilisé au remboursement d’une “dette publique” qui est inique, illégitime, sans fondement[1] et qui affame les Français tout en engraissant les gouvernants et leurs partenaires en affaires : les capitaines d’industrie et les financiers… quand il n’est pas utilisé à financer l’invasion migratoire que les Français n’ont pas souhaité dans leur vaste majorité, ou à entreprendre des guerres criminelles de prédation, ou encore des tentatives onéreuses de changements de “régimes”. Et, franchement, Nous, le Peuple, nous en avons assez de jouer les bailleurs de fonds de toutes ces turpitudes ; le mouvement des Gilets Jaunes devrait aisément vous en convaincre.
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JE NE CONSENS PAS À PARTICIPER À NI À MAINTENIR VOTRE SYSTÈME D’ESCLAVAGE PAR LA DETTE ET DE RACKET FISCAL AU PROFIT D’UNE ÉLITE AUTOPROCLAMÉE QUI NE CESSE DE SE GAVER.
JE NE CONSENS PAS, À UN QUELCONQUE MOMENT DU PRÉSENT OU DE L’AVENIR, AU VOL CARACTÉRISÉ — QUELLE QUE SOIT L’APPELLATION UTILISÉE TELLE “IMPÔT” — D’UNE QUELCONQUE PORTION DE TOUT REVENU QUI EST MIEN, DE QUELQUE ORIGINE QU’IL SOIT.
Par conséquent, veuillez vous assurer, en tant que responsable de votre société “MINISTÈRE DE…”, que toute velléité de prélèvement à la source d’un “impôt sur le revenu” — ou d’un quelque autre impôt — que votre “gouvernement” se tient prêt à ponctionner sur mes revenus présents ou à venir, soit immédiatement abandonnée et remisée aux oubliettes. Si, après réception de ce courrier, le prélèvement automatique d’une portion quelconque de mes revenus présents ou à venir et de quelque origine qu’ils soient est actionné, vous en répondrez personnellement en vertu de cette Notification.
J’attire votre attention sur le fait que “BUISSON SYLVIE/MME BUISSON SYLVIE” étant une personne juridique fictive, une raison sociale, une entité commerciale, d’une part, et que cette entité de par sa nature n’étant pas douée de VIE (un don du Créateur Primordial) ni n’habitant à cette adresse, d’autre part, elle ne peut ni vous lire, ni vous parler, ni vous écrire, ni vous répondre, ni agir d’une manière ou d’une autre. Par conséquent, veuillez adresser tout courrier à mon attention à la femme vivante faite de chair et de sang et de l’Âme Éternelle (Essence Éternelle) que je suis : Sylvie Catherine Buisson, sans titre et en respectant la casse.
Je vous transmets ci-après le lien vers ma Déclaration de renaissance à la Vérité Absolue (Déclaration de Refus) du 27 juin 2015 : /category/notification-publique/. Cette Déclaration est un contrat ; l’action qui consiste à faire prélever l’impôt, à la source ou non, par vos services, employés, agents, mandataires, sous-traitants ou autres, vaut l’acceptation, et l’acceptation implique le consentement aux Conditions Générales stipulées dans cette Déclaration. À réception de la présente, vous êtes réputé en avoir été dûment notifié.
Cordialement.
Avis aux commettants équivaut à avis aux exécutants et vice-versa
P.J.
Copie de votre courrier.
[1] Pas un seul audit n’a jamais été effectué sur cette fumeuse “dette publique” depuis 1973. Ce qui a été “emprunté” ce sont des chiffres sur des écrans d’ordinateurs, autrement dit du vent, avec l’exigence totalement illégitime et illégale que ce soit la population — conditionnée par la menace, la contrainte et la violence — qui s’acquitte de cette obligation au moyen de sa sueur et de son sang.
TOUS DROITS RÉSERVÉS – SANS PRÉJUDICE
Je ne suis pas une personne juridique fictive ni une entité commerciale créée par l’État.
JE SUIS une femme vivante de chair et de sang possédant l’âme éternelle créée par le Créateur Primordial.
Les Notes de BibiCabaya :
Je n’ai pas de revenus présentement à part la somme extraite de ma FIDUCIE (bourrée de fric) qui m’est reversée par “l’État”, et je serai bientôt à la retraite. Toutefois, la formulation que j’emploie «mes revenus “présents et à venir”» vise à tenir à l’écart toute tentative de ponction arbitraire et illégitime, dussé-je incessamment recevoir un revenu…
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