**Franck Dubosc.**.. ou est-ce Patrick Chirac ?

L’APPEL DES ARTISTES…

La classe cultureuse fait mine d’ouvrir les yeux… Son chiffre d’affaires est-il en baisse ? Perd-elle ses fans à cause de son indifférence affichée depuis des mois quant au sort des Gilets Jaunes, c’est-à-dire des Français qui souffrent ? Aujourd’hui, elle nous gratifie d’un sursaut tardif… dont nous ne sommes pas dupes. Personnellement, je me méfie de gens qui mettent des plombes à réaliser qu’il se passe quelque chose de grave dans le pays alors que la population bat le pavé depuis des mois avec des revendications tout à fait légitimes. Je note que cette même classe avait été ô combien plus prompte à soutenir le pédophile Polanski ! Elle n’avait pas mis six mois à réagir, mais seulement quelques jours… voire quelques heures ! (L’appel)

Revenons à Franck Dubosc, le bien-aimé des humoristes français, qui avait défrayé la chronique il n’y a pas si longtemps…

Les tergiversations de Franck Dubosc au sujet des Gilets Jaunes

1) «On va trouver quelque chose… Je vous aime.»… (avec trémolos et désarroi visible, mais je le crois sincère) :

2) «Les Gilets Jaunes, c’est du passé : trop haineux, trop hargneux !» (Là, il s’est fait remonter les bretelles par sa “classe” ! On ne se mêle pas du sort des manants !) :

3) «Je ne suis qu’un clown.» (Il faut bien justifier cette volte-face inattendue et caustique qui lui a coûté cher : il a perdu l’estime de beaucoup de ses fans, et probablement un paquet d’argent de tous ceux qui l’ont lâché) :

4) Les promesses vaines (cagnotte, etc.)… qui ne coûtent rien :

Finalement, soit Franck Dubosc n’en a rien à cirer des Gilets Jaunes vu que son nom n’est pas sur la liste, soit il sait trop bien que tous ces gens ne sont probablement pas sincères. En effet, comment peut-on prétendre être sincère quand on met six mois à réagir face à la misère d’autrui : une misère bien connue en France et qui s’affiche partout dans les rues ? Une misère causée par toutes les mesures prises par les différents gouvernements depuis des années ; une misère qui a commencé en Grèce, en Italie, et qui s’enracine chez nous ; une misère qui vient des directives et autres recommandations d’une entité commerciale privée nommée Union Européenne — rejetée par le peuple de France — qui fait partie du Nouvel Ordre Mondial satanique auquel cette classe cultureuse fait partie dans sa grande majorité :