LA GRANDE ARNAQUE HYPOTHÉCAIRE BRITANNIQUE (MàJ)

TGBMS Day
Les banksters : «Après examen des probabilités, nous admettons que nous sommes bel et bien foutus.»

La Grande Arnaque Hypothécaire Britannique (TGBMS1) n’est pas seulement britannique, elle est aussi française, américaine, allemande, espagnole, grecque, italienne, etc. parce que cette arnaque est mondiale. Le système est mondialisé et il est systémiquement frauduleux et criminel.

Pour ceux qui se posent la question de savoir comment se sortir de cette matrice infernale d’esclavage financier et commercial, pourquoi ne pas faire un premier pas souverain vers la cessation définitive du soi-disant “remboursement” de vos fumeux “prêts” hypothécaires ?

Souvenez-vous que RIEN ne vous a été prêté par la banque ! C’est VOUS qui avez créé votre crédit… parce que, dans le système, c’est VOUS le crédit (oui oui, vous êtes l’énergie et la vie derrière ce crédit que vous créez). Par votre signature sur un morceau de papier (“accord de prêt immobilier”), vous avez crée les €500 000+ qui ont servi à acheter votre maison, et la banque vous a dupés à croire qu’elle vous aurait “prêté” cet argent alors qu’elle n’a pas sorti un sou de ses comptes. Et en plus, elle vous oblige — par la ruse et la tromperie dans un premier temps, puis par la coercition par la suite — à lui payer des intérêts sur un “argent” qui est strictement le vôtre. Vous êtes donc doublement dupés…

Oui, ce qu’il faut comprendre dans l’arnaque des prêts bancaires (hypothécaires, personnels ou autres) c’est que la petite enquête qui est faite sur vous avant le prétendu “octroi” du prétendu “prêt” vise à s’assurer que vous êtes le pigeon idéal qui pourra verser une rente sans fondement à la banque (les intérêts) car la banque SAIT2 que c’est vous qui créez le crédit, et elle sait AUSSI que vous ne le savez pas… d’où la magistrale arnaque qui se perpétue de génération en génération. La banque vous dupe à lui rembourser un “argent” (capital) qu’elle ne vous a pas prêté mais elle s’assure, en examinant votre cas au peigne fin, que vous serez en mesure de lui verser une rente (intérêts) sur 5, 10, 20 ou 30+ ans… Et vous passez votre vie à travailler pour la banque.

C’EST CELA L’ESCLAVAGE FINANCIER PAR LA DETTE FICTIVE

TOUTE DETTE EST FICTIVE !

Je vous invite à relire l’article de nacainte du 15 janvier 2013, publié sur ce blog le 28 décembre 2014 (archives) : DIX QUESTIONS À POSER À VOTRE BANQUE et de vous intéresser de très près à tout ce qui touche les fumeux “prêts” bancaires dont Michael Tellinger et Peter Smith, entre autres, ont démontré qu’il ne s’agit pas de “contrats” de prêt mais de billets à ordre. Un billet à ordre c’est du CASH ! Une fois signé, le billet à ordre est l’équivalent d’espèces sonnantes et trébuchantes. Tout le système bancaire de réserves fractionnaires actuel (le système de dette fictive Rothschild) fonctionne principalement avec des billets à ordre/lettres de change. Même les billets de banques (euros, dollars…) sont des billets à ordre = des promesses de payer (en l’occurrence, de ne rien vous payer vu que ces billets ne reposent sur aucune valeur autre que notre propre énergie). Le billet LUI-MÊME c’est l’argent. Il n’y a donc rien à rembourser. L’arnaque monumentale du système à consisté, à ce jour, à faire rembourser ces billets…

Les Britanniques (ce bon peuple de Celtes3 épris de liberté) n’ont pas seulement réussi leur Brexit, ils sont également, en ce moment même, en train de faire passer un sale quart d’heure à l’industrie criminelle de l’hypothèque. Cela fait des années qu’ils s’y collent et les résultats commencent à tomber un à un. Les petites victoires individuelles d’aujourd’hui formeront les gigantesques fleuves collectifs de demain qui anéantiront cette arnaque et les auteurs de cette arnaque et libéreront les Hommes et les Femmes de la Terre.

Message aux Gilets Jaunes

L’heure est venue de rentrer sagement chez vous pour commencer à plancher sur la meilleure façon de mettre fin à l’arnaque bancaire qui sacrifie l’avenir de vos enfants et détruit votre joie de vivre… et votre porte-monnaie ! Manifester dans les rues de Paris ou d’ailleurs ne vous sortira pas de l’esclavage des Rothschild, on l’a vu : tous les prix ont flambé ! Réalisez que pendant que vous vous faites gazer, tabasser et mutiler par les forces de soutien au désordre ambiant, les factures des banksters s’accumulent dans vos boîtes aux lettres…

BibiCabaya


Par The Bernician

Notification au secteur hypothécaire britannique de recours collectifs

Nos remerciements sincères à tous ceux qui ont contribué à faire du 6 août 2019 l’événement historique qu’il est devenu lorsque nous avisions l’industrie britannique des prêts hypothécaires frauduleux que la Journée TGBMS allais lui tomber dessus. En effet, les banquiers ont 28 jours pour fournir des documents hypothécaires légalement valables à 11,2 millions de débiteurs hypothécaires4, faute de quoi des recours collectifs auprès de la cour suprême seront déposés dans toutes les régions du pays.

Au cours des onze derniers jours seulement, nous avons reçu des milliers de courriels de gens souhaitant se constituer parties aux revendications. Chacun d’entre eux sera ajouté, au cours du mois prochain, à tous les autres qui se sont inscrits dans l’intervalle. Des demandes massives seront ensuite déposées auprès de chaque bureau régional du cadastre, demandant l’annulation de chaque hypothèque illégale et une indemnisation pour toutes les pertes encourues. Étant donné que les arguments que nous avons avancés ont tous été soutenus par une jurisprudence contraignante, outre le soutien considérable d’Anthony Stansfeld, vous pouvez déjà entendre le son de fesses se crispant fébrilement dans le Mile Carré [NdT la City de Londres] ce matin.

Dans les années à venir, on parlera du 6 août 2019, comme du jour où les habitants de ces terres se sont soulevés et ont dit : «La tyrannie des banques prend fin ici.»

Ensemble, unis par notre cause commune, nous verrons la vérité et la justice l’emporter, tout simplement parce qu’il y a suffisamment de braves gens qui ont résisté à la fraude et à l’injustice au moment critique.

Traduit de l’anglais par Sylvie Buisson (29 août 2019).

Source : The Bernician, le 10 août 2019 https://www.thebernician.net/tgbms-day-uk-mortgage-industry-served-notice-of-class-actions/


Par The Bernician

Le jugement historique qui a tout changé pour les débiteurs hypothécaires britanniques

Judement historique

Ceci est un doublon de l’article de self-realisation.com qui annonçait la victoire historique en référé de ma famille à la cour suprême de Leeds, le 21 juillet 2014. Le message original a déjà été partagé 5 500 fois, mais il est publié à nouveau ici pour que tout l’historique de notre affaire soit enregistré sur les pages de ce blog.

Après avoir passé la plus grande partie des cinq dernières années à lutter contre les erreurs judiciaires au sein des tribunaux de Sa Majesté s’agissant de prêts hypothécaires manifestement invalides, j’ai l’immense plaisir de jouer le rôle du porteur de bonnes nouvelles à tous ceux qui sont actuellement engagés dans des luttes similaires contre les bandits de l’hypothèque.

Suite à trois audiences devant deux juges de la cour suprême, plutôt en difficulté et ayant tous deux fait l’objet de demandes de récusation au motif qu’ils ont fait preuve de préjudice extrême à l’égard des mandataires de la fiducie immobilière privée de ma famille : le juge Behrens, quoique avec quelque réticence, a rendu une ordonnance de référé aux administrateurs qui défendent une revendication méprisable de Bank of Scotland qui cherche à mettre mes parents en faillite à propos du déficit de la supposé dette à recouvrer suite à la vente au rabais de neuf propriétés pour une moyenne de 27% de leur valeur marchande par leurs pirates Lefèvre Pelletier & Associés (LPA).

La revendication de la banque reposait entièrement sur un prétendu contrat d’hypothèque dont la validité se situait dans l’avenir. Toutefois, le document en question — qui prend la forme d’une lettre de crédit [offre et acceptation] — n’a jamais été signé par un représentant de la banque, ce qui l’a annulé ab initio en vertu de l’article 2 de la loi de 1989 sur le droit des biens (dispositions diverses), conformément aux arrêts United Bank of Kuwait/Sahib, Murray/Guinness, Lloyds/Bryant et Keay/Morris Homes, ainsi que les principes énoncés par le juge Neuberger dans Helden vs Strathmore, à savoir qu’un contrat pour l’octroi d’hypothèque à l’avenir tombe sous le coup de l’Article 2.

Bien que l’affaire actuelle durera encore quelques mois au moins en appel et que les mandataires contestent le rejet de leur contestation que la Section 2 de l’article 2 doit être appliquée en vertu du fait que le document sur lequel s’appuie la banque ne concerne que les hypothèques légales futures de biens n’ayant pas encore été acquis par les administrateurs, le juge Behrens a néanmoins admis que l’un des prétendus prêts hypothécaires est nul au motif qu’il n’a pas bénéficié de certification adéquate, en violation du paragraphe 1 (3) de la loi de 1989, ce qui revêt une grande importance pour un certain nombre de raisons :

1. Les mandataires ont argué que neuf hypothèques sur 12 biens immobiliers étaient nulles et inapplicables tout au long de la procédure initiale qui s’était déroulée devant le juge Walton à la cour suprême de Newcastle, le 22 octobre 2010, ainsi que dans le cadre d’une plainte pour fraude déposée contre le tribunal [dépôt de plainte juillet 2013]. Les deux demandes ont été rejetées comme étant totalement dénuées de fondement, ainsi que toutes les demandes de redressement par mesure conservatoire, autorisation d’appel et révision judiciaire. Ce jugement signifie que le piont 1 de chacune de ces demandes a été fermement maintenu, du moins en partie, confirmant ainsi la nullité de chaque ordonnance rendue prétendant que les points soumis par les mandataires sont dénués de fondement.

2. Le verdict du juge Walton doit être écarté de son jugement rejetant la demande initiale selon laquelle il n’existerait aucune hypothèque légale ayant force exécutoire puisqu’il s’est basé sur la fausse preuve donnée par le directeur de la banque et ses administrateurs judiciaires sous serment selon laquelle chacun des prétendus documents hypothècaires avait été certifié comme étant valide par leurs avocats avant le début de la procédure par les mandataires en août 2010.

3. La mise de côté du verdict de Walton annulera également la décision du juge Lloyd de rejeter, comme étant totalement dénuée de fondement, notre demande d’autorisation d’interjeter appel de ce jugement, ainsi que la décision de Behrens de juin 2012 de refuser l’autorisation de procéder à une révision judiciaire du jugement de Walton qui comprenait une ordonnance restrictive illégale contre mon nom, après que «je» eus déclaré l’ensemble du système judiciaire nul en l’absence de justice dûment rendue.

4. Le rejet sans fondement par Behrens de la fraude relative à la plainte déposée en décembre 2013 doit maintenant être également annulé puisqu’il a admis que l’argument de l’Article 1 (3) qu’il avait précédemment rejeté était tout à fait valide. Cette plainte doit maintenant être rétablie, ce qui entraînera automatiquement un référé en faveur des Fiduciaires étant donné que ni la banque ni les administrateurs judiciaires n’ont déposé de dossier de défense dans le délai imparti. Le juge Behrens est bien conscient de ces faits.

5. L’injonction restrictive prolongée (IRP) — émise illégalement par le juge Norris en juillet 2013 contre mon nom et ceux des mandataires m’interdisant effectivement de présenter toute demande ou de comparaître devant un tribunal, pénal ou civil, sans l’autorisation de Behrens ou d’Atherton [juge d’instance de haut rang] — doit également être annulée pour les mêmes raisons, ainsi que quatre autres ordonnances rendues par eux depuis décembre dernier au motif qu’elles étaient toutes fondées sur la présomption erronée selon laquelle l’injonction restrictive avait été valablement rendues, ce qui n’était certainement pas le cas.

6. La suspension du juge Earl de la procédure pénale de première instance engagée contre les pirates de la LPA en juillet 2013 peut maintenant être levée et les responsables de la banque ajoutés à la liste des accusés, ce qui signifie que, à la demande des administrateurs, la poursuite pénale privée donnera lieu à un procès contre la banque et ses pirates pour allégations de fraude en vertu des articles 2 et 3, au motif que le juge Earl avait déjà décidé que cette possibilité serait ouverte aux fiduciaires si l’une des hypothèques était réputée illégale et non avenue, et dans le cas où un règlement rapide et équitable n’était pas proposé et exécuté par les administrateurs judiciaires [et finalement, par la banque].

7. Le bureau de l’immobilier de la chambre de première instance du tribunal supérieur est maintenant tenu d’ordonner que le bureau du cadastre annule l’hypothèque. Le bureau du cadastre a déjà accepté sa responsabilité pour les pertes subies avant la formation du bureau de l’immobilier en juillet 2013. En tout état de cause, il ne s’agit plus d’un point de désaccord.

8. Aucune des hypothèques en cause n’ayant été dûment certifiée, le même sort attend chacune d’elles.

Compte tenu de ces ramifications vraiment décourageantes pour tout membre du pouvoir judiciaire de Sa Majesté, il n’est certainement pas surprenant que Behrens ait insisté pour laisser indirectement à la décision d’un autre juge, qu’il soit de la cour d’appel ou de la Cour suprême, la Section 2 de l’article 2, admettant qu’il s’appuyait simplement sur la doctrine de la chose jugée qui concernait des questions considérées comme déjà réglées par des juges de haut rang.

Cependant, étant donné qu’il est extrêmement improbable que l’un ou l’autre de ces juges décide jamais que le jugement de Lloyd de refuser une demande d’autorisation d’interjeter appel, sans une audience, doit prévaloir sur le jugement de Neuberger rendu dans l’affaire Helden, qui était un jugement définitif de la cour d’appel dirigée par l’actuel président de la Cour suprême. Après examen des probabilités, quel que soit le juge qui examinera la demande d’autorisation auprès de la cour d’appel il sera confronté à un choix simple : qui mettre en difficulté, le président Lloyd de la cour d’appel, ou le président Neuberger de la Cour suprême ?

Ce qui se passera à partir de maintenant, ainsi que toute l’histoire de ces luttes et d’autres luttes pour la justice contre les banksters, sera documenté dans le prochain film documentaire La Grande Arnaque Hypothécaire Britannique. Quel que soit le résultat final, ce voyage continue d’être un tour singulièrement infernal de montagnes russes à travers la vallée de l’ombre de la mort. Ce n’est certainement pas fait pour les âmes sensibles !

Points à retenir :

a. Tout acte signé par le débiteur hypothécaire dans un lieu physique différent de celui du prétendu témoin de la signature est nul en vertu de la Section 1 (3) de la loi de 1989, puisqu’elle invalide l’exécution, au motif que la signature et son témoignage doivent nécessairement se produire au même moment et au même endroit. Cela signifie que tous les prétendus documents hypothécaires qui proviennent de la lettre d’offre et d’acceptation et qui ont été signés par le débiteur hypothécaire désigné [mais presque jamais par le créancier5 hypothécaire], puis postés / livrés dans un lieu différent pour être certifiés, sont nuls ab initio pour non-respect de la Section 1 (3).

b. Tout acte daté d’un jour différent du jour de l’exécution est également nul en vertu de la Section 1 (3), au motif qu’un acte incomplet ne peut pas être considéré comme ayant été valablement exécuté, car il doit être complet au moment de l’exécution, selon le jugement du juge Underhill dans R [Mercury Tax Group] vs HMRC et la décision de l’arbitre du bureau du cadastre connu sous le nom de Garguilo.

À mon avis, la ferme position maintenue par les fiduciaires a coincé Behrens, lui offrant une seule issue : celle de concéder au moins un des points de fond soulevés. S’il ne l’avait pas fait, il ferait maintenant l’objet de poursuites pénales pour inconduite judiciaire et atteinte à la justice, en même temps que Walton, Lloyd, Kaye, Atherton, Norris et Patten dont aucun ne pourra de se défaire de potentielles poursuites civiles ou pénales jusqu’à ce que tous les jugements et toutes les ordonnances afférentes soient frappés de nullité pour la raison qu’ils sont totalement sans fondement !

Il faut également dire que mon père âgé de 69 ans s’est également si bien comporté au tribunal que Behrens a dû se rendre compte que, tout comme son fils, il ne serait pas intimidé à se soumettre par des menaces de quelque nature qu’elles soient ; en particulier celles remises par des sophistes privilégiés et très bien formés en robes pourpres.

Inévitablement, le juge, à cette occasion, n’avait pas le choix : il n’y avait pas d’espace pour les témoins sur le prétendu acte d’hypothèque, de sorte qu’il était nul ab initio, comme le déclaraient les fiduciaires dès le moment où nous nous sommes rendu compte de la fatale erreur dans le document. C’est donc une question de droit établie qu’une hypothèque peut être contestée en s’appuyant sur les importants défauts des prétendus documents hypothécaires pour défendre la revendication d’un emprunteur6.

Il semblerait qu’il existe enfin une décision de la cour suprême sur laquelle tous les débiteurs hypothécaires sur ces îles7 pourront désormais s’appuyer s’agissant de la Section 1 (3) et de son application. De plus, cela signifie que depuis la création du ministère de l’injustice, il existe maintenant deux jugements dont les débiteurs hypothécaires pourront se prévaloir : le jugement Carlin et Hughes vs Santander, cour suprême d’Irlande du Nord, février 2103 [au sujet duquel la banque a menti s’agissant de la pratique de la titrisation] et celuici, qui devrait être désigné sous le nom de BOS vs les Fiduciaires NT jusqu’à ce que la citation complète soit disponible une fois que la question de l’appel aura été réglée.

Quoi qu’il advienne à partir de cet instant, un précédent contraignant a maintenant été créé qu’aucun juge ne pourra ignorer sans se faire dépecer en appel par tous à l’exception des menteurs, des lâches et des imbéciles les plus déterminés qui ont juré allégeance à une monarchie tout à fait illégitime, impitoyablement contrôlée et exploitée par la Maison de la Couronne des Rothschild à des fins personnelles. Néanmoins, il semble que la marée se soit définitivement inversée devant la cour suprême de Sa Majesté8.

Traduit par Sylvie Buisson (29 août 2019).

Source : The Bernician, publié le 31 mai 2019 : https://www.thebernician.net/historic-judgment-which-changed-everything-for-uk-mortgagors/

Plus sur les crimes bancaires : https://www.thebernician.net/banking-crimes/


Les Notes de BibiCabaya :

1 En anglais : The Great British Mortgage Swindle.

2 À un certain échelon uniquement car les banquiers de base (les employés occupant des fonctions de gestion de comptes, gestion de porte-feuilles d’actions, responsables prêts personnels/entreprise, les traders, etc.) ne sont pas au courant ! Cette information ressort de documents utilisés dans les plus hauts échelons du système bancaire, entre autres, Modern Money Mechanics publié par la Réserve Fédérale américaine de Chicago, puis subséquemment retiré de la circulation quand les gens se sont emparé de cette information pour régler leurs comptes avec les banques !… Évidemment, si tous les employés des banques connaissaient le principe de l’arnaque bancaire institutionnalisée, non seulement ils le contourneraient pour eux mêmes, mais également pour leurs amis, familles et clients… La plupart des banquiers de base (les employés occupant des fonctions spécifiques au sein de la banque) sont persuadés que la banque prête de l’argent car ils ne connaissent pas le processus réel de l’émission de crédit ni sur quoi est réellement basé ce dernier… (c’est pourtant dans les textes…) Beaucoup de gens ignorent que la fraude est intentionnellement tissée dans les rouages du système bancaire et pensent que le secteur bancaire est une institution honorable, alors qu’il s’agit du plus grand syndicat du crime organisé sur la planète (dixit Michael Tellinger). C’est d’ailleurs ce qu’a fait ressortir le Rapport Paradigme de l’OPPT.

3 Ce sont des Celtes à l’origine… les Angles et les Saxons (Germanie) sont des envahisseurs venus plus tard.

4 Tous ces termes sont frauduleux : il n’existe pas de “débiteurs” hypothécaires ou autres dans ce système quand ce sont les gens eux-mêmes qui, au moyen de leurs signatures, créent leur propre crédit.

5 Là encore “créancier hypothécaire” ne veut rien dire, sauf à vouloir tromper, puisque la banque ne prête pas d’argent ; tout cela relève du langage de l’arnaque !

6 Il n’y a pas d’ “emprunteurs” non plus, il n’y a que des émetteurs de crédit qui pensent à tort que la banque leur a accordé un “prêt”.

7 Les îles britanniques.

8 Avec un jeu de mot : just-us (juste nous = l’entre-soi du système) à la place du mot justice*

 

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