COMMENT ORGANISER UNE FAUSSE ÉPIDÉMIE (ET INFLUENCER DES MILLIARDS DE GENS)

Jon Rappoport
Jon Rappoport

Par Jon Rappoport

«Quand de gigantesques méga-sociétés volent des terres à des gens du Tiers-Monde et empoisonnent ces gens avec une pollution horrible, pourquoi ne parle-t-on pas de meurtre ? Est-ce trop évident ? Cela heurte-il de délicates sensibilités ? Diriez-vous qu’un gang de la drogue qui commet une fusillade dans un bar et tue d’innocents passants ne fait qu’exécuter des “pratiques commerciales typiques dans leur domaine d’activité” et ne devrait donc jamais être poursuivi en justice pour homicide ?» (Le métro, Jon Rappoport)

Cet article rassemble les faits contenus dans ma série en cours sur “l’épidémie de Chine”. Pour obtenir les détails, je vous recommande de revenir en arrière et de lire tous ces articles.

Si un groupe veut mettre en scène une fausse mais effrayante épidémie, comment s’y prendrait-il ?

Tout d’abord, quelles raisons auraient-ils pour lancer un plan aussi audacieux ?

D’un côté, ils veulent couvrir les dommages humains qui se produisent déjà en cherchant à expliquer ce mal avec une fausse histoire. Par exemple, supposons qu’une combinaison mortelle d’air et d’eau et de la pollution électronique 5G* des entreprises rend les gens malades et les tue. Les responsables n’admettront certainement pas leurs crimes. Au lieu de quoi, ils prétendront qu’un nouveau virus cause ce mal sous la forme, par exemple, d’une maladie pulmonaire. Le virus vient “d’émerger”. “Il est apparu de nulle part. et a traversé des espèces animales jusqu’aux humains.”

Donc… la première chose nécessaire est un groupe de cas dans un seul endroit. Un petit groupe de gens qui présentent les mêmes symptômes. C’est facile à trouver. Que diriez-vous de symptômes de la grippe ordinaire ? Fièvre, fatigue, faiblesse, en mettant l’accent sur les complications pulmonaires [dues aux formes de pollution]. Quelques-uns de ces gens sont très malades. Deux d’entre eux meurent. Maintenant, la machine de publicité/actualités passe à la vitesse supérieure.

Cela s’appelle une “épidémie”. Ce n’est pas le cas, mais c’est la narration. «Ils étaient tous “exposés à quelque chose”», par exemple dans un restaurant sur une berge aménagée.

Les informations — diffusées directement dans les médias grand public — proviennent d’agences de l’élite de la santé publique comme le CDC et l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

C’est une ÉPIDÉMIE

Pour utiliser un terme technique, tout ça c’est de la MERDE. Vous comprenez ? Les habitants de la “nouvelle agglomération de cas” tombent malades et meurent en raison des véritables causes de pollution que j’ai énumérées ci-dessus. Mais les nouvelles prennent une tournure différente : «Des chercheurs de l’OMS et du CDC déclarent qu’une “maladie mystérieuse” est apparue dans la ville X, et travaillent à découvrir le virus…»

Qui a dit que c’était un virus ? Qui a fait cette supposition injustifiée ? l’OMS et le CDC. Ils disent toujours que qu’il s’agit d’un virus.

À ce stade, tout à coup, c’est l’actualité partout sur la planète, et la majeure partie de la population est enrôlée, dès le départ. Virus. Oui. Je vois. Quel virus ?

Et brièvement et miraculeusement, la réponse vient : c’est le VX-20. Un nouveau virus jamais vu auparavant, «qui est probablement sorti des poissons et s’est propagé aux humains. Un pêcheur est déjà mort.»

Voila. Nous avons une nouvelle maladie : le VX-20.

Question suivante : les chercheurs ont-ils réellement trouvé ce virus ? L’ont-ils trouvé ?

Suivez attentivement la pièce suivante. Il y a un tour de passe-passe impliqué.

Scénario 1 : les chercheurs ont utilisé ce que l’on appelle des “marqueurs indirects” pour INFÉRER qu’un nouveau virus était présent, dans des échantillons de tissus prélevés sur plusieurs personnes dans “l’agglomération” originale de victimes riveraines.

Les chercheurs n’ont pas effectivement utilisé de procédures de base pour purifier l’échantillon de tissu d’un seul patient, et n’ont pas vu BEAUCOUP de virus identiques sur une photographie au microscope électronique de l’échantillon purifié – s’ils ont pris une telle photographie. Ils n’ont certainement pas effectué ce test complet sur plusieurs centaines de patients émergents – ils auraient dû le faire, mais ils ne l’ont pas fait. Et très certainement, d’autres chercheurs, y compris des analystes indépendants, n’ont pas effectué le test de microscopie électronique nécessaire sur des centaines de soi-disant “patients épidémiques”.

Donc… les chercheurs du CDC et de l’OMS ont trouvé une notion, une idée, une inférence à propos d’un virus, à travers ces marqueurs indirects. Et via un processus d’inférences continues, ils ont caractérisé le virus qu’ils n’ont jamais vu.

Scénario 2 : soyons généreux et supposons que les chercheurs ont pris la peine de regarder des photos au microscope électronique, dérivées de seulement quelques patients, et non de centaines de patients comme ils auraient dû le faire. Qu’ont-ils réellement vu sur les photos ? Peut-être ont-ils vu quelques particules se ressemblant, MAIS très probablement ces particules de type virus n’étaient que des passagers qui vivent habituellement dans le corps et ne causent aucun mal. Cependant, les chercheurs sautent de haut en bas et disent : C’EST ÇA. C’EST LE NOUVEAU VIRUS TUEUR ET NOUS ASSEMBLERONS MAINTENANT SA SÉQUENCE GÉNÉTIQUE.

ET ILS LE FONT.

Et alors ? Ces chercheurs ne prennent pas la peine de faire la distinction entre les virus qui pourraient nuire et ceux qui sont inoffensifs. Pourquoi ? Parce qu’ils sont déterminés à trouver quelque chose. N’importe quoi. C’est leur mission fondamentale.

Dans les deux scénarios, ils ont cruellement échoué à prouver qu’un nouveau virus est responsable de rendre les gens malades.

Qu’à cela ne tienne — les médias et les gouvernements sont déjà en marche. ÇA Y EST ! Une nouvelle épidémie : le VX-20. Une ville entière est déjà bouclée. Des agents de contrôle brandissent des baguettes sur les passagers qui descendent des avions. Une tête parlante américaine dit qu’il y a maintenant une hâte à développer un vaccin. De nouveaux cas de VX-20 apparaissent dans d’autres villes et d’autres pays. Boom.

Examinons cette dernière partie, à propos des nouveaux cas et de la “propagation” — parce que c’est là que les gens tombent VRAIMENT dans le canular. Ils disent: «Eh bien, voici une ville où il n’y a pas de pollution de l’air, de l’eau ou de la 5G, et ils découvrent de nouveaux cas, alors comment expliquez-vous cela ?»

Les nouveaux cas et la propagation sont entièrement basés sur des TESTS DIAGNOSTIQUES. Ces résultats de test déterminent s’il y a une “épidémie” ou une “propagation”.

Il existe deux principaux tests : le test anticorps et le test ACP. En bref, aucun des deux tests ne suffit pour dire VOILÀ UN NOUVEAU CAS. Les deux tests sont peu fiables et sans valeur. C’est plus de canular. Les deux tests prétendent montrer de « nouveaux cas » alors que ce n’est PAS le cas. Il se pourrait qu’ils montrent des anticorps ou quelques minuscules fragments de ce qui pourrait être un virus, mais ils ne montrent RIEN qui indique directement une maladie humaine. S’appuyer sur ces tests serait équivalent à placer un pari sur un jeu qui n’est même pas programmé. C’est une farce.

Les tests d’anticorps qui prétendent prouver une maladie provenant d’un virus montrent en fait, au mieux, que le patient est entré en contact avec un virus. En fait, avant 1984, cela était généralement considéré comme signifiant que le patient était en bonne forme, que son son système immunitaire avait vaincu le germe. Mais alors, pour des tas de raisons qui ne sont pas bonnes, la science a été détournée et marche sur la tête. Tout d’un coup, un test d’anticorps positif est utilisé pour signifier que le patient était malade ou sera bientôt malade. Absurdité. Farce.

Le test ACP utilise un minuscule, vraiment minuscule, échantillon sur un patient qui pourrait être porteur d’un virus, mais la particule virale est beaucoup trop petite pour être comprise. L’ACP fait exploser cette particule à plusieurs reprises, afin de l’analyser. MAIS le test ne dit rien sur LE NOMBRE de virus, le cas échéant, qui se répliquent dans le corps du patient. Et il faut des millions et des millions de virus se répliquant dans le corps pour commencer à parler d’une cause de maladie réelle.

Les DEUX TESTS reposent sur l’hypothèse injustifiée qu’un virus causant réellement la maladie — le VX-20 — a été réellement découvert en premier lieu.

Armés de ces tests lamentables, les officiels commencent à signaler un nouveau cas d’épidémie ici et un nouveau cas là-bas, et bientôt 40 pays ont de nouveaux cas, et le public se fait avoir comme un bleu.

C’EST AINSI qu’on organise une fausse épidémie. Le reste est de la pure publicité, du verrouillage et du théâtre.

Théâtre dangereux

Des médicaments toxiques et des vaccins toxiques seront employés pour traiter l’épidémie qui n’a jamais existé.

Les causes ACTUELLES EN COURS de la maladie et de la mort resteront en place, repoussées profondément dans l’arrière-plan. Et CECI équivaut à un crime capital. Comme dans : meurtre. Ne l’oubliez pas.

On demandera aux gens de ne pas remettre en question la ligne officielle sur “l’épidémie”. C’est ce qu’on appelle un indice. Pourquoi ne pas poser des questions ? Parce que les réponses pourraient conduire à une conclusion correcte sur l’énorme duperie.

Permettez-moi d’ajouter quelques commentaires.

L’Organisation mondiale de la santé elle-même déclare que chaque année, il y a des millions de cas de grippe ordinaire dans le monde et plusieurs centaines de milliers de décès. Il ne s’agit pas du “coronavirus”. Mais les personnes grippées peuvent facilement être qualifiées de “nouveaux cas épidémiques”. La grippe ordinaire peut être statistiquement “importée” et appelée “coronavirus”.

Ensuite, il y a le traitement médical imposé aux personnes à qui on dit qu’il s’agit de “cas de coronavirus”. Je parle de médicaments antiviraux hautement toxiques, qui ont la capacité d’arrêter la reproduction naturelle des cellules de l’organisme. En particulier lorsque des gens ont déjà un système immunitaire affaibli ou des problèmes de fonction organique, les résultats peuvent être catastrophiques : les patients peuvent mourir. Bien sûr, s’ils meurent, on dira d’eux qu’ils sont “morts de l’épidémie”.

Pour finir, il y a autre chose dont vous avez pu entendre parler. Je l’ai mentionné quelques paragraphes plus haut : le meurtre. Pensez-vous vraiment que les gens qui lancent consciemment une fausse épidémie, avec toutes ses conséquences — y compris couvrir et ne jamais remédier aux causes réelles actuelles de la mort et la mort – s’arrêteraient à l’organisation de quelques incidents spectaculaires de mort et de causer la mort de façon à faire sensation et à convaincre le public que le virus est vraiment un tueur ? Est-ce que vous plaisantez ? Par exemple, soudainement, à l’improviste, quelques amis, auparavant en bonne santé, dans une petite ville, tombent malades, et quelques jours plus tard, ils sont morts. Les responsables de la santé ont déclaré qu’ils étaient “positifs au virus”. «Il est venu rapidement.» Des tests sont-ils effectués pour détecter un acte d’intoxication directe et caché ? Bien sûr que non. Les médias font retentir cette horrible histoire dans le monde entier : «LE VIRUS EST EN MOUVEMENT.» La même chose arrive à une famille auparavant en bonne santé au pays X. Ils tombent tous malades et meurent. Puis un groupe de voyageurs sur une montagne du pays Y tombent malades et meurent. Meurtre. Cependant, la couverture médiatique est: «LE VIRUS NE CONNAÎT AUCUNE LIMITE. IL PEUT VENIR DE PARTOUT, À TOUT MOMENT.» CES ÉVÉNEMENTS DE MORT «NE PEUVENT ÊTRE EXPLIQUÉS QUE PAR LE VIRUS.» C’est vrai quand le public est soumis à un lavage de cerveau et complètement naïf.

Mais… mais comment quiconque pourrait-il réellement commettre un meurtre prémédité de gens innocents afin de convaincre le public qu’un virus se propage dans des endroits improbables ?”

Comme je l’ai mentionné, ces contrôleurs sont DÉJÀ coupables de meurtre car ils cachent les véritables causes de décès en cours au moyen d’une couverture médiatique au sujet d’un virus. Ce genre de dissimulation de crime se produit dans le monde entier depuis très, très longtemps. Pour ne citer que deux exemples, regardez des régions d’Afrique et d’Haïti où “l’histoire du VIH” a été promue et financée en continu afin de cacher la pauvreté créée et maintenue intentionnellement, le vol des terres agricoles et la prise de contrôle d’entreprises impliquant la pollution industrielle massive et toxique.

Lorsque vous remontez dans l’histoire – comme moi – vous vous rendrez compte que les fausses épidémies sont une procédure opératoire standard. SRAS, grippe porcine, virus du Nile occidental, Zika, etc. J’ai écrit en détail sur chacun de ces phonies …

Auteur de trois collections explosives, THE MATRIX REVEALED (La Matrice révélée), EXIT FROM THE MATRIX (Sortie de la Matrice)et POWER OUTSIDE THE MATRIX (Pouvoir en dehors de la Matrice), Jon était candidat à un siège du Congrès américain dans le 29e district de Californie. Il maintient une pratique de conseil pour les clients privés dont le but est l’expansion du pouvoir créatif personnel. Nominé pour un prix Pulitzer, il a travaillé comme journaliste d’investigation pendant 30 ans, écrivant des articles sur la politique, la médecine et la santé pour CBS Healthwatch, LA Weekly, Spin Magazine, Stern et d’autres journaux et magazines aux États-Unis et en Europe. Jon a donné des conférences et des séminaires sur la politique mondiale, la santé, la logique et le pouvoir créatif à des publics du monde entier.

(*) Concernant la technologie 5G et la Chine, je recommande de regarder la vidéo de Dana Ashlie, “The BEST NEWS re CΟRΟNΑ VΙrus you’ve heard all month! Kinda” sur YouTube..

(Pour en savoir plus sur la méga-collection de Jon, The Matrix Revealed, cliquez ici.)

Traduit de l’anglais par BibiCabaya (27 février 2020)

Source : Operation Disclosure, publié le 27 février 2020 https://operationdisclosure1.blogspot.com/2020/02/how-to-stage-fake-epidemic-and.html

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