LE COMPLEXE HOSPITALIER HENRY FORD APPORTE LA PREUVE DE L’EFFICACITÉ DE L’HYDROXYCHLOROQUINE

HCQ

Le Complexe Hospitalier Henry Ford [1] a produit une étude, publiée le 29 juin 2020 dans le Journal International des Maladies Infectieuses, qui montre que l’hydroxychloroquine (HCQ) réduit le taux de mortalité du Covid-19 chez les patients hospitalisés… En France, à cette même époque, les autorités criminelles de facto [2] ont choisi d’euthanasier nos aînés ― sans le consentement des familles ― et de les priver de soins à partir de 70 ans alors que la communauté scientifique dans son entièreté sait depuis toujours que l’HCQ est un remède efficace dans le cas des coronavirus ; ce que le Professeur Raoult n’a cessé de répéter, et raison pour laquelle il a été menacé de mort… car il ne s’agit nullement de santé publique, mais de pouvoir et d’argent.

C’est évidemment la raison pour laquelle ce remède bon marché qu’est l’hydroxychloroquine a été prestement évacué de la circulation juste avant l’annonce de la soi-disant pandémie de Covid-19 et que l’interdiction de le prescrire a aussi prestement été donnée ; le but étant d’obtenir un taux élevé de mortalité afin de créer la peur et la panique généralisées dans la population dans le but de lui imposer un vaccin numérique ID2020 qui n’a strictement rien à voir avec la santé mais avec le contrôle, la réduction de la population (ils ont commencé avec les vieux sous nos yeux) et la transformation de l’Humanité en robots (cyborgs) contrôlés à distance, ce que les Illuminati appellent le transhumanisme… C’est un fait connu que grâce à la peur et à son entretien méthodique et cathodique, on peut faire avaler toutes les couleuvres…


UNE ÉTUDE DU COMPLEXE HOSPITALIER HENRY FORD MONTRE QUE LE TRAITEMENT À L’HYDROXYCHLOROQUINE RÉDUIT LA MORTALITÉ DE FAÇON SIGNIFICATIVE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS DU COVID-19

DETROIT ― Le traitement par l’hydroxychloroquine réduit de manière significative le taux de mortalité chez les patients hospitalisés atteints du COVID-19, et ceci sans effets secondaires cardiaques, selon une nouvelle étude publiée par le Complexe Hospitalier Henry Ford.

Dans une analyse rétrospective à grande échelle de 2541 patients hospitalisés entre le 10 mars et le 02 mai 2020, dans les six hôpitaux du Complexe Hospitalier Henry Ford, l’étude a révélé que 13% des personnes traitées à l’hydroxychloroquine seule sont décédées, contre 26,4% non traitées à l’hydroxychloroquine. Aucun des patients n’avait d’anomalies cardiaques graves connues ; cependant, les patients ont été contrôlés pour toute condition cardiaque régulièrement mentionnée comme une raison d’éviter le remède comme traitement du COVID-19.

L’étude a été publiée aujourd’hui [3] dans le Journal International des Maladies Infectieuses [4], publication en ligne à accès libre et à comité de lecture de la Société Internationale des Maladies Infectieuses (ISID.org) [5].

Les patients traités à l’hydroxychloroquine chez Henry Ford répondaient aux critères spécifiques du protocole tel qu’indiqué par la Division des maladies infectieuses du système hospitalier. La grande majorité a reçu le médicament peu de temps après son admission ; 82% dans les 24 heures et 91% dans les 48 heures suivant l’admission. Tous les patients de l’étude avaient 18 ans ou plus avec un âge médian de 64 ans ; 51% étaient des hommes et 56% des Afro-américains.

 

Vidéo publiée par HenryFordTV, le 06 juillet 2020.

«Les résultats ont fait l’objet d’une analyse de premier plan et ont été révisés par des pairs», a déclaré le Dr Marcus Zervos, chef de la division des maladies infectieuses pour le Complexe Hospitalier Henry Ford (CHHF), qui a co-écrit l’étude avec l’épidémiologiste Samia Arshad du CHHF. «Nous attribuons nos résultats qui diffèrent des autres études à un traitement précoce et, en partie, à une combinaison d’interventions effectuées dans le cadre de soins de soutien aux patients, y compris une surveillance cardiaque attentive. Nos dosages différaient également des autres études qui n’ont montré aucun effet positif du médicament. Et d’autres études ne sont pas révisées par des pairs, ou ont un nombre limité de patients, ou des populations de patients différentes, ou encore d’autres différences par rapport à nos patients.»

Zervos a déclaré que le potentiel d’une poussée à l’automne, voire plus tôt, et que les infections se poursuivent dans le monde entier montrent qu’il est urgent d’identifier des thérapies et des mesures de prévention peu coûteuses et efficaces. «Nous sommes heureux de contribuer à la base de connaissances scientifiques sur le rôle des thérapies et sur la meilleure façon de les utiliser tandis que nous travaillons dans le monde entier pour fournir des informations», a-t-il déclaré. «Pris en compte dans le contexte des études actuelles sur l’utilisation de l’hydroxychloroquine contre le COVID-19, nos résultats suggèrent que le médicament pourrait avoir un rôle important à jouer dans la réduction de la mortalité due au COVID-19.»

L’étude a également révélé que les personnes traitées avec seulement de l’azithromycine ou avec une combinaison d’hydroxychloroquine et d’azithromycine s’en tiraient également légèrement mieux que celles non traitées avec ces médicaments, selon les données du Complexe Hospitalier Henry Ford. L’analyse a révélé que 22,4% des patients traités uniquement par l’azithromycine sont décédés et 20,1% des patients traités par une association d’azithromycine et d’hydroxychloroquine sont décédés, contre 26,4% des patients décédés qui n’ont été traités avec aucun des deux médicaments.

«Notre analyse montre que l’utilisation de l’hydroxychloroquine a aidé à sauver des vies», a déclaré le neurochirurgien Dr Steven Kalkanis, PDG du Complexe Hospitalier Henry Ford et premier vice-président et directeur des études du Complexe Hospitalier Henry Ford. «En tant que médecins et scientifiques, nous nous tournons vers les données pour en savoir plus ; et les données ici montrent clairement qu’il y avait des avantages à utiliser le médicament comme traitement pour les patients malades et hospitalisés.»

Dans l’ensemble, les patients de l’étude du centre hospitalier Ford ont connu un taux de mortalité hospitalière de 18,1%. Quel que soit le traitement, la mortalité était la plus élevée chez :

les patients âgés de plus de 65 ans,

les patients identifiés en tant que Caucasiens [6],

les patients admis avec des niveaux d’oxygène réduits,

les patients nécessitant une admission aux soins intensifs.

Les patients décédés avaient fréquemment des maladies sous-jacentes graves, notamment des maladies rénales et pulmonaires chroniques, dont 88% mouraient d’une insuffisance respiratoire. À l’échelle mondiale, la mortalité globale due au SRAS-COV-2 est estimée à environ 6% à 7%, la mortalité des patients hospitalisés se situant entre 10% et 30%, selon l’étude. Une mortalité aussi élevée que 58% a été observée chez les patients nécessitant des soins en USI [7] et une ventilation mécanique.

Selon le CDC [8] des États-Unis, l’hydroxychloroquine (également connue sous le nom de sulfate d’hydroxychloroquine) est un médicament contre l’arthrite approuvé par la FDA [9] des États-Unis qui peut également être utilisé pour prévenir ou traiter le paludisme. Il est disponible aux États-Unis uniquement sur ordonnance. Le médicament est vendu sous le nom de marque Plaquenil et est également vendu comme médicament générique. Il est couramment utilisé par les patients souffrant d’arthrite, de lupus ou d’autres affections rhumatismales.

Le Dr Zervos a également souligné, tout comme le document, que les résultats de l’étude devraient être interprétés avec une certaine prudence, ne devraient pas être appliqués aux patients traités en dehors des hôpitaux et nécessitent une confirmation supplémentaire dans des essais contrôlés randomisés prospectifs qui évalueraient rigoureusement l’innocuité et l’efficacité du traitement par l’hydroxychloroquine contre le COVID-19 [2]. «Actuellement, le médicament ne doit être utilisé que chez les patients hospitalisés avec une surveillance appropriée, et dans le cadre de protocoles d’étude, conformément à toutes les réglementations fédérales pertinentes», a déclaré le Dr Zervos.

Le Complexe Hospitalier Henry Ford, en tant que l’un des principaux centres médicaux universitaires de la région avec plus de 100 millions de dollars de financement annuel pour la recherche, est impliqué dans de nombreux essais sur le COVID-19 avec des partenaires nationaux et internationaux.

Le Complexe Hospitalier Henry Ford est actuellement également impliqué dans une étude prophylactique sur l’hydroxychloroquine : «Will Hydroxychloroquine Impede or Prevent COVID-19» [10] ou WHIP COVID-19. L’étude est un examen randomisé en double aveugle de 3000 personnes pour déterminer si l’hydroxychloroquine empêche les travailleurs de la santé et de première ligne de contracter le virus COVID-19. L’équipe WHIP COVID-19 travaille sur l’expansion des sites d’étude alors qu’il y a une accalmie dans le nombre de cas de COVID-19 dans le sud-est du Michigan. Ceci est en préparation à une augmentation potentielle des cas de COVID-19 à l’approche de la saison de la grippe d’automne, avec des sites supplémentaires disponibles pour une inscription pratique des travailleurs de la santé et des premiers intervenants. L’équipe WHIP COVID-19 profite également de ce don de temps pour atteindre d’autres régions du monde qui voient une floraison de cas : le Brésil et l’Argentine. Il y a actuellement 619 personnes inscrites à l’étude, sur un objectif de 3 000.

À propos du Complexe Hospitalier Henry Ford :

Sous la direction du président et chef de la direction, Wright L. Lassiter, III, le Complexe Hospitalier Henry Ford est un complexe médical intégré de 6,5 milliards de dollars composé de six hôpitaux, d’un projet sanitaire et de plus de 250 sites, y compris des centres médicaux, des cliniques sans rendez-vous et des cliniques de soins d’urgence, pharmacie, établissements de soins oculaires et autres détaillants de soins de santé. Fondé en 1915 par le pionnier de l’industrie automobile, Henry Ford, le Complexe Hospitalier compte maintenant 32 000 employés et abrite le Groupe Médical Henry Ford de 1 900 membres, l’un des plus anciens groupes de médecins du pays. En outre, 2 200 médecins supplémentaires sont également affiliés au Centre Hospitalier par le biais du réseau des médecins Henry Ford. Participant actif à l’éducation et à la formation médicales, le Complexe Hospitalier a formé près de 40% des médecins exerçant actuellement dans l’État et offre également une éducation et une formation à d’autres professionnels de la santé, notamment aux infirmières, aux pharmaciens, aux techniciens en radiologie et des voies respiratoires.

Courriel de contact avec les médias : [email protected]

Traduit de l’anglais par BibiCabaya (07 août 2020).

Source : Henry Ford Health System https://www.henryford.com/news/2020/07/hydro-treatment-study, publié le 02 juillet 2020.


Les Notes de BibiCabaya :

1 Henry Ford Health System.

2 Elles ont réagi au quart de tour à l’étude foireuse du Lancet pour poursuivre leur agenda criminel alors que l’étude du Henry Ford qu’elles ont ignorée est toujours publiée et irréfutée…

3 Le 29 juin 2020, voir ICI.

4 International Journal of Infectious Diseases.

5 International Society of Infectious Diseases.

6 Blancs.

7 Unité de Soins Intensifs.

8 Center for Disease Control and Prevention.

9 Food and Drugs Administration = organe de certification des aliments et des médicaments.

10 «L’hydroxychloroquine empêchera-t-elle ou préviendra-t-elle le COVID-19» ?

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