AUSTRALIE : FLAGRANTE MISE EN ESCLAVAGE DE LA POPULATION

par Lance D Johnson

La police australienne peut kidnapper n’importe qui pour des raisons médicales et lui enlever tous ses vêtements, «y compris ses sous-vêtements», afin d’administrer de force des vaccins.

La loi australienne de 2016 sur la santé publique a été mise à jour et est en cours d’application, déclenchant des horreurs de la police médicale d’État qui n’ont pas été observées depuis la montée de l’expérimentation médicale sur les Juifs en Allemagne nazie. Cette loi australienne donne de nouveaux pouvoirs [1] considérables aux forces de l’ordre et à d’autres «agents autorisés» [2] pour retenir, isoler et vacciner de force qui ils veulent. Les nouveaux pouvoirs sont tellement descriptifs qu’ils donnent aux forces de l’ordre le pouvoir légal de «retirer tout ce que porte la personne, y compris les sous-vêtements».

Les agents australiens peuvent appréhender, détenir et retenir des adultes et des enfants pour une vaccination forcée et le retrait de leurs vêtements.

Le «fonctionnaire autorisé» peut kidnapper médicalement des adultes ou des enfants et contraindre les personnes ciblées à subir une observation médicale, un examen médical, un traitement médical ou une vaccination obligatoire. La loi australienne autorise [3] les agents à «utiliser une force raisonnable» pour s’assurer que les sujets humains [4] se conforment à la directive sur la santé publique [5]. Les agents peuvent «appréhender et détenir la personne à qui l’instruction s’applique» et la relocaliser pour l’expérimentation médicale, [6] le retrait forcé de ses vêtements et la vaccination forcée. La loi est divisée en trois parties, expliquant comment les autorités peuvent (1) appréhender, (2) détenir et (3) retenir des sujets humains.

En vertu de la partie 11, division 2 des pouvoirs relatifs aux incidents de santé publique graves, les autorités peuvent vacciner de force le sujet et «retirer tout ce que porte l’individu». Si le sujet refuse de retirer ses vêtements, les autorités peuvent déchirer les vêtements de son corps, y compris ses sous-vêtements.

Le fait de dépouiller les êtres humains de leurs vêtements et de leur dignité ne s’arrête pas à l’abus des adultes par les autorités. La loi poursuit : «Si la personne concernée est un ENFANT ou une personne handicapée, [le retrait des vêtements] doit, si possible, être fait en présence d’une personne responsable ou d’une autre personne qui peut fournir du soutien à l’enfant ou à la personne handicapée et représenter son intérêt.» [7]

Ces pouvoirs odieux de viol, d’abus et d’enlèvement médical sont ouvertement autorisés [8] tant que le gouvernement de l’Australie-Occidentale déclare l’état d’urgence de santé publique, comme l’ont fait l’Australie et la plupart des autres gouvernements en réponse au Covid-19. L’Australie, comme de nombreux autres gouvernements, ne renoncera pas facilement à ces pouvoirs nouvellement délégués [9]. Tant que les humains existent, la menace d’une infection virale persistera, et les gouvernements capitaliseront sur cette peur pour abuser de qui ils veulent.

L’expérimentation médicale forcée en Australie viole les traités internationaux.

Les nouveaux médicaments et vaccins expérimentaux qui sont lancés à la hâte seront imposés aux Australiens. Le Premier ministre australien, Scott Morrison, a déclaré qu’un vaccin contre le coronavirus serait rendu «aussi obligatoire que possible». Selon ces ordonnances de santé publique d’urgence, toute personne en désaccord peut être arrêtée et isolée, ses vêtements enlevés, son corps soumis à une expérimentation médicale et à des injections forcées.

Le code de Nuremberg, un traité établi suite aux répercussions du Tribunal militaire international quant à l’Allemagne nazie, est clair sur la nécessité du consentement éclairé pour toute expérimentation médicale sur l’homme. Le code de Nuremberg indique clairement que les expériences doivent éviter les souffrances et les blessures physiques et mentales. Les vaccinations seront sans aucun doute classées comme des expériences médicales risquées et, lorsqu’elles sont imposées aux humains, elles causent des souffrances physiques et mentales. D’une part, les vaccins sont des produits pour lesquels il n’existe aucune responsabilité des fabricants, tandis que ces derniers ne sont tenus de respecter aucune norme alors que leurs produits sont préjudiciables. Deuxièmement, les vaccinations ne sont pas testées lors d’études randomisées en double aveugle ; et troisièmement, aucune étude n’a été menée pour comparer les non-vaccinés aux vaccinés en ce qui concerne la santé globale, la force de la fonction immunitaire, l’incidence des maladies infectieuses et la propagation mesurable des maladies infectieuses annoncées.

Avec ce précédent établi et les ordonnances d’urgence de santé publique passées à perpétuité, le peuple australien devrait se battre pour ses droits avant d’être davantage dépouillé de sa dignité humaine et que ses vêtements soient arrachés, son corps violé et soumis à la plus récente des technologies de suivi et des expériences vaccinales du moment.

Traduit par BibiCabaya (02 octobre 2020).

Partagé par Before It’s News et par LifeSiteNews.com ; Legislation.gov.au ; IMARCResearch.com

Source: Natural News https://www.naturalnews.com/2020-09-29-australian-police-kidnap-people-remove-underwear-administer-vaccines.html, publié le 29 septembre 2020.


Les Notes de BibiCabaya :

1 Il n’existe aucun droit de porter atteinte à autrui et d’enfreindre son libre arbitre. Ce que font les agents de la société privée «COMMONWEALTH OF AUSTRALIA» / «AUSTRALIAN GOVERNMENT» appelés «politiques» (mais qui sont en réalité des commerciaux) et leurs mercenaires, n’est ni plus ni moins UN CRIME bientôt multiplié par des millions.

2 Tout comme la police australienne, il s’agit là encore d’employés du privé.

3 Ceci n’est PAS «LA LOI», ce sont des règles PRIVÉES, c’est-à-dire les desiderata de particuliers mettant en œuvre un agenda qui leur est propre et qui n’a strictement rien à voir avec la «santé publique». N’importe qui d’autre qui commettrait les mêmes actes sur une seule personne, serait arrêté, jugé et emprisonné par ces soi-disant «autorités»… Ces faux dirigeants n’ont aucune légitimité à imposer quoi que ce soit à la population. Ce sont des criminels car ils commettent des actes criminels sur autrui à très grande échelle et, dans ce cas, ils doivent être traités comme les criminels qu’ils sont : être pendus sans procès par la population car leurs crimes étant avérés il n’y a pas de «présomption d’innocence».

4 Les hommes et les femmes ne sont les «sujets» de personne !! Et c’est là que l’on voit comment le concept de personne juridique est un piège mortel qui permet aux propriétaires des actes de naissance d’abuser des êtres humains en les associant à cette entité fictive. C’est l’entité fictive qui est «sujet» pas les humains…

5 La santé n’est jamais «publique», elle est strictement personnelle. Cette notion de «santé publique» a été inventée dans le but, précisément, d’en imposer aux hommes et aux femmes de la Terre. Nul n’est responsable de notre santé que nous-mêmes.

6 Depuis quand les humains auraient-ils l’obligation de jouer le rôle de cobayes des laboratoires pharmaceutiques et de se soumettre aux «politiciens» complices de ces derniers ?

7 On voit mal où se situerait «l’intérêt de la personne» quand cette dernière est vaccinée de force et utilisée à des fins d’expérimentation médicale, contre son gré…

8 Non, ils ne sont PAS «autorisés» car NUL n’a le droit d’agir de la sorte, pas plus les cadres supérieurs des sociétés privées se faisant passer pour des gouvernements légitimes que quiconque. Ce «droit» n’existe tout simplement pas, qu’elles que soient les circonstances. IL S’AGIT DE CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ. De tels actes vont à l’encontre de LA LOI DE DIEU aussi bien que des statuts internationaux tels que le Code de Nüremberg et la Convention de 1926 de la Société des Nations (ancêtre de l’ONU) relative à l’esclavage qui y est défini comme «l’état ou condition d’un individu sur lequel s’exercent les attributs du droit de propriété ou certains d’entre eux» (art. 1, par. 1). Par conséquent, «COMMONWEALTH OF AUSTRALIA» / «AUSTRALIAN GOVERNMENT» se livre à la mise en esclavage des Australiens dans la mesure où utiliser les gens comme des cobayes et décider à leur place de ce qui relève strictement de leur propre responsabilité et de leur libre arbitre est de l’esclavage.

9 Nul ne peut «déléguer» des droits inexistantsFace à la menace qui guette, l’heure est venue de faire respecter nos droits naturels et imprescriptibles accordés par notre Créateur Primordial.

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