«RISQUES MAJEURS» LIÉS AU VACCIN GÉNIQUE

Dr. Shukarit Bhakdi, virologue (capture d’écran)

Par Renée Nal

AVERTISSEMENT IMPORTANT : L’ÉMINENT VIROLOGUE ALLEMAND, DR. SUCHARIT BHAKDI, EXPOSE DES «RISQUES MAJEURS» LIÉS AU VACCIN GÉNIQUE (VIDÉO)

L’éminent virologue allemand, le Dr Sucharit Bhakdi, met en garde les citoyens allemands contre les effets néfastes du vaccin contre le coronavirus chinois qui modifie le gène. Lors d’une récente apparition dans la série allemande «Corona Quartett», le Dr Sucharit Bhakdi a souligné «quatre risques majeurs» du vaccin actuellement distribué dans certains lieux.

Alors que le vaccin Pfizer-BioNTech est «déjà approuvé aux États-Unis et au Royaume-Uni» *, le ministre allemand de la Santé, Jens Spahn, s’attend à ce que l’approbation allemande arrive le 27 décembre et lancera une campagne massive de vaccination le même jour.

* Mise à jour : le vaccin Pfizer-BioNTech n’a reçu qu‘une «autorisation d’utilisation d’urgence» et «n’a pas été approuvé ou autorisé par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis».

1) Les citoyens âgés sont en danger !

La première observation frappante du Dr Bhakdi fut que le vaccin, «développé en partenariat avec le géant pharmaceutique américain Pfizer», n’avait pas été testé sur des individus les plus susceptibles de mourir du coronavirus : les personnes âgées atteintes de pathologies préexistantes. En fait, le Dr Bhakdi souligne spécifiquement que les sujets de test étaient «des personnes jeunes et en bonne santé». Pourtant, «la moitié d’entre eux ont eu de la fièvre, des frissons, des douleurs musculaires, des membres douloureux, des maux de tête et ils se sentaient malades», déclara le médecin.

Le narrateur, le journaliste autrichien Michael Fleischhacker, demanda incrédule : «Il n’y a pas eu suffisamment de sujets testés ayant des conditions similaires à ceux qui sont actuellement vaccinés ?» «Aucun», répondit le Dr Bhakdi. «Aucun des sujets de test n’avait de conditions préexistantes», a-t-il poursuivi.

Nul besoin de sortir de Saint Cyr pour évaluer le danger extrême qui consiste à administrer un vaccin créé à la hâte et génétiquement modifié à une population dont la santé est déjà compromise, alors que les effets secondaires furent importants s’agissant des «jeunes en bonne santé». Pourtant, «priorité sera donnée aux personnes âgées dans les EHPAD, a annoncé le gouvernement de la ville de Berlin», rapporte le Deutsche Welle (DW).

2) Le danger d’un vaccin modifiant le gène (ARNm)

Le Dr Sucharit Bhakdi explique que le second «risque majeur» réside dans le fait que la vaccination à ARN messager (ARNm) qui altère le gènome «peut provoquer des réactions allergiques très graves». L’ARNm est décrit au CDC comme «un nouveau type de vaccin pour se protéger contre les maladies infectieuses», et Bhakdi avertit que ce type de vaccin est «encore inconnu scientifiquement et médicalement».

En septembre dernier, la Fondation RAIR a cité une déclaration du médecin selon laquelle le vaccin contre le coronavirus en cours de développement «n’est pas un vaccin conventionnel normal et n’a rien de commun avec le vaccin contre la grippe». Il observa l’ironie que tandis que de nombreuses personnes se positionnent contre les «aliments génétiquement modifiés», une vaccination «qui manipule génétiquement le corps humain» ne semble pas susciter de préoccupation.

On sait que le vaccin contre la grippe dépose un «germe affaibli ou inactivé dans notre corps» de façon à aider le corps à se construire une immunité naturelle contre le virus. Ce n’est pas le cas avec un vaccin à ARNm qui utilise des cellules existantes pour créer une protéine «trouvée à la surface du virus qui cause le COVID-19» qui déclenche une réponse immunitaire, selon le CDC.

La réponse immunitaire à son tour «produit des anticorps» qui protègent contre le virus. Bien qu’il n’y ait «aucun vaccin à ARNm homologué aux États-Unis», le CDC assure aux Américains que «les chercheurs les étudient et travaillent avec eux depuis des décennies…»

3) Le vaccin contre le coronavirus peut provoquer «une surréaction immunitaire explosive»

Le troisième risque du vaccin contre le coronavirus, explique le Dr Bhakdi, est qu’il peut «contribuer à une réaction excessive indésirable à des infections naturelles ultérieures». Bhakdi poursuit en disant que la réaction excessive potentielle peut également affecter «d’autres virus».

Bhakdi déclare :

«Curieusement, ce vaccin peut contribuer à une réaction excessive aux infections naturelles ; et pas seulement avec ce virus mais également avec d’autres virus, comme un virus de la grippe. Il provoque une surréaction immunitaire explosive.»

Le virologue a déclaré que les tests sur les animaux «ont montré qu’il y avait une amplification de la réaction du système immunitaire contre la maladie». Il poursuit : «les animaux vaccinés ont failli mourir. C’est un immense danger.» Le Dr Bhakdi a expliqué qu’«une fois qu’une vaccination génétique est injectée dans votre bras, en quelques minutes le vaccin (ARNm) se propage dans tout votre corps.»

4) Risque de maladie auto-immune

Le quatrième «risque majeur» selon le Dr. Bhakdi est la possibilité d’une maladie auto-immune qu’il explique également en détail ici. Le médecin explique qu’une «ramification» de la maladie auto-immune est «en fait une perturbation embolismique qui peut entraîner la mort, en théorie, et l’infertilité féminine». Sans hésitation, le Dr Backdi poursuit : «Ce sont des choses théoriques qui sont déjà écrites en noir et blanc.»

Au début de ce mois-ci, la RAIR Foundation USA a rapporté que le directeur de l’Institut Robert Koch, l’équivalent allemand des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) américains, semblait préparer les citoyens à des décès inévitables qui se produiront après l’administration du vaccin. Le professeur Lothar H. Wieler assura aux citoyens qu’«en moyenne 2 500 à 2 700 personnes meurent chaque jour en Allemagne» et que, par conséquent, les décès que les gens pourraient vouloir attribuer au vaccin contre le coronavirus pourraient être dus à «une autre maladie préexistante» tandis qu’on s’apprête à les administrer aux «personnes âgées et extrêmement âgées».

L’ironie, bien sûr, c’est que tandis que le gouvernement allemand prépare les citoyens à des décès inévitables dus au vaccin contre le coronavirus, le taux de mortalité réel du virus est difficile à trouver. «Vous ne pourrez pas trouver la réponse [taux de mortalité réel] car vous n’obtiendrez de réponse que si vous recherchez les rapports du RKI [Institut Robert Koch] et que vous calculez vous-même ce chiffre», a précédemment observé le Dr Bhakti. .

Visionner la vidéo exclusivement traduite (en anglais) sur l’article original – lien en bas de page

Traduction de l’anglais et transcription de la vidéo par BibiCabaya (23 décembre 2020) :

Remerciements chaleureux à Miss Piggy pour la traduction [anglaise]

Le Dr. Bhakdi s’exprime :

«Cette vaccination comporte potentiellement quatre risques majeurs, et si nous n’en discutons pas, ici et maintenant, il sera trop tard. Tout d’abord, il s’agit d’un vaccin à base génique. Celui qui a été approuvé en Angleterre et qui sera probablement approuvé prochainement en Europe comporte quatre risques majeurs.

«Premièrement : la vaccination elle-même provoque des effets secondaires très graves. [Les sujets de test] étaient jeunes et en bonne santé, pourtant la moitié d’entre eux ont eu de la fièvre, des frissons, des douleurs musculaires, des membres douloureux, des maux de tête et ils se sentaient malades. Alors, maintenant, si on va administrer une telle vaccination à des personnes âgées souffrant de conditions préexistantes, eh bien, je ne veux même pas imaginer ce qui adviendra d’eux.»

[Le présentateur intervient :] – «Donc, il n’y avait pas assez de sujets testés avec des conditions similaires à ceux qui sont actuellement vaccinés ?» Le Dr Bhakdi répond :

– «Non ! Aucun des sujets de test n’avait de conditions préexistantes.»

«Le second risque : ce vaccin comporte plusieurs composants et la substance qui l’encapsule (ARNm) peut provoquer des réactions allergiques très graves.

Troisièmement, bizarrement ce vaccin peut provoquer une réaction excessive indésirable à des infections naturelles ultérieures : et pas seulement avec ce virus, mais aussi avec d’autres virus, comme un virus de la grippe. Il provoque une surréaction immunitaire explosive. Des tests effectués sur des animaux pour le SRAS-COV-1 ont montré qu’il y avait une amplification de la réaction du système immunitaire à la maladie. Les animaux vaccinés ont failli mourir. Ceci représente un immense danger. Une fois qu’un vaccin génique (ARNm) est injecté dans votre bras, en quelques minutes il se propage dans tout votre corps. Il pénètre également dans des cellules qui normalement ne seraient pas infectées. Là, il commence la production de cette protéine virale : dans vos cellules. Vos cellules deviennent une usine. Laissez-moi vous dire une chose …»

[Le présentateur intervient à nouveau :] – «Brièvement, pouvez-vous nous dire ce qu’est le quatrième risque ? Vous en avez mentionné quatre.»

Le Dr. Bhakdi :

– «Le quatrième risque est la maladie auto-immune et une de ses conséquences est une perturbation embolismique qui peut théoriquement entraîner la mort et l’infertilité chez la femme. Ce sont des éléments théoriques qui sont déjà écrits en noir et blanc. Et pour finir, sur la notice du vaccin de BioNTech, il est même indiqué que les femmes enceintes ne sont pas autorisées à se faire vacciner car les blessures causées par le vaccin ne peuvent être exclues. Donc, si une jeune femme décide de se faire vacciner, elle doit éviter de tomber enceinte dans les deux mois qui suivent la vaccination. C’est ce qui est déjà mentionné. Ce vaccin n’a jamais été testé dans le cadre d’expérimentations, ce qui aurait dû être le cas. Tout cela aurait dû être examiné depuis longtemps.»

Article traduit de l’anglais par BibiCabaya (23 décembre 2020).

Source : RAIR Foundation USA https://rairfoundation.com/dire-warning-prominent-virologist-dr-sucharit-bhakdi-exposes-major-risks-of-gene-altering-vaccine-video/, publié le 19 décembre 2020.

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