HATJ : LA QUESTION BRÛLANTE
Par Anna Von Reitz
Cette question brûlante concerne la vie et l’époque de Heather Ann Tucci-Jaraff (HATJ), créatrice d’OPPT et membre du projet Paradigme [1] ― et la raison pour laquelle elle est en prison.
Le Rapport Paradigme fut le résultat d’une enquête menée par une agence de la même direction fiduciaire internationale interverrouillée que les analystes en statistiques néerlandais avaient découverte, et que Karen Hudes [2] a mentionnée à plusieurs reprises. Les personnes impliquées dans le projet Paradigme se sont rendu compte que, essentiellement, le monde entier avait été escroqué et que nos avoirs individuels avaient été détournés, trafiqués et contrôlés par des syndicats du crime légalement constitués fonctionnant «en tant que» gouvernements nationaux. Autrement dit, ils ont découvert, suivi, analysé et pris des mesures contre la Grande Fraude.
Je soupçonne que des éléments de l’équipe de contrôle fiscal naval qui a été assassinée lors de l’attaque du 11 septembre ― tout au moins des éléments de ses recherches ― ont survécu et ont été adoptés par les membres du projet Paradigme. Nous savons maintenant que le sale boulot a été fait par le Saint Empire romain germanique agissant en tandem avec des escrocs britanniques opérant en tant que gouvernement de Westminster ― la Couronne britannique et les traîtres américains, pour la plupart des membres de la soi-disant Pilgrim’s Society.
Enfin …
Ayant découvert la Grande Fraude, les courageux membres de cette équipe de chercheurs, dont Heather Ann Tucci-Jaraff, ont décidé d’agir de façon pragmatique afin de la démanteler. Ils ont donc saisi les sociétés responsables de ces activités illégales et ont formé un trust (une fiducie), l’OPPT, pour remplacer le soi-disant World Trust qui était utilisé comme instrument et caisse noire des escrocs.
Le problème, comme toujours, était que ceux qui ont entrepris ce travail étaient tous des fédéraux et n’avaient donc pas la prérogative de prendre ces mesures. Ainsi, ceux qui étaient en mesure de connaître la situation étaient incapables d’y mettre un terme. Intéressant, non ? Une conspiration criminelle qui se perpétue.
Un autre problème a été que le fait de transférer les actifs du World Trust dans une autre fiducie, l’OPPT, n’a pas résolu le problème sous-jacent qui est l’existence d’une telle fiducie en premier lieu. L’OPPT pourrait démarrer avec les meilleures intentions du monde, au fur et à mesure que les gens meurent et que le pouvoir se corrompt, elle finirait inexorablement par retomber dans le même type de direction de fiducie interverrouillée et oppressive, quoique gérée par différents monstres.
Alors, prendrez-vous des excréments à la framboise ou au chocolat ?
C’est la raison pour laquelle je n’ai pas soutenu l’OPPT ni ne lui ai accordé aucune confiance. Toutefois, j’ai apprécié le courage et la loyauté des chercheurs qui l’ont présentée et qui ont fait de leur mieux, selon les lumières qu’ils ont pu percevoir, pour libérer le monde de l’iniquité et redonner du pouvoir aux vivants.
Ainsi, quand j’ai vu que les choses se gâtaient, j’ai contacté HATJ à plusieurs reprises et lui ai conseillé de rompre son engagement auprès de l’Ordre des Avocats. Comme la plupart des avocats, HATJ avait fait beaucoup d’efforts pour obtenir son doctorat en droit et passer l’examen du Barreau, et portait une grande considération à son adhésion au Barreau. De plus, elle croyait vraiment, comme le font la plupart des avocats, que sa carte du Barreau était un outil vers le pouvoir dont elle avait besoin pour défendre l’OPPT.
Toutefois, je savais qu’en tant qu’avocate, elle n’était pas en droit de faire ce qu’elle essayait de réaliser, qu’elle aurait inévitablement des ennuis et serait accusée d’insubordination ― bien qu’on ne le lui dirait pas en face. Au lieu de quoi, on avancerait d’autres accusations mais la jugerait pour insubordination tout de même.
Il est difficile de se défendre contre des accusations si on ne sait pas quelles sont ces accusations. Elle est donc tombée dans ce piège et personne ne peut lui manquer d’estime pour ça. Sauf moi, mais qui étais-je ? Personne ne lui a jamais rien dit sur l’Ordre des Avocats, ni sur les sociétés extrêmement privées en charge des opérations de l’Ordre à travers le monde, ni sur les juridictions impliquées dans ce qu’elle tentait de faire, ni sur les raisons pour lesquelles elle ne pouvait pas être à la fois membre du Barreau et espérer mener à bien son action.
Sans doute a t-elle pensé que je lui racontais une belle histoire, et elle n’y a pas immédiatement cru ni agi en conséquence, ce qui a eu pour résultat qu’elle a été traduite dans leur système judiciaire, inculpée, condamnée et incarcérée comme une vulgaire criminelle pour avoir violé des obligations contractuelles dont elle est, probablement à ce jour, totalement ignorante.
Devrait-elle être en prison ?
Pas de notre point de vue. Elle a bien agi en cherchant à empêcher et à entraver des activités criminelles. Elle a tenté d’aider les gens du monde entier en utilisant les outils qu’elle avait à sa disposition. Je suis sûre qu’elle est bénie de Dieu pour cette raison alors même qu’elle est seule dans sa cellule de prison. Peut-être se souvient-elle de ce que je lui ai dit et a-t-elle ruminé tout cela, se demandant ce qu’elle fera lorsque les portes s’ouvriront et qu’elle sera à nouveau libre.
Son adhésion au Barreau a pris fin et elle se demande probablement comment elle gagnera sa vie et, comme de nombreux avocats qui ont été radiés pour avoir soutenu la justice, sa vie sera marquée par deux périodes : avant le Barreau et après le Barreau. J’aurais aimé qu’il y ait un moyen, même à cette heure tardive, de lui dire qu’il y a une autre manière de faire. En effet, elle peut devenir conseillère juridique plutôt qu’avocate au Barreau. En réalité, elle ne peut être avocate au Barreau et suivre son cœur qui est fermement ancré dans la cause de la justice.
Plutôt que ma réflexion ne devienne une rumination publique sur la souffrance et l’emprisonnement injuste de HATJ, qu’elle soit un avertissement et un appel aux autres membres des barreaux de ce pays ― à la fois l’Ordre des Avocats Américain et le Barreau Américain ― à repenser leurs hypothèses et leurs loyautés. Si vous êtes un conservateur et croyez à tout prix à la suprématie britannique, continuez à vivre votre vie en tant que commis d’expédition au service de la marine marchande britannique ― car c’est ce qu’est un avocat du barreau et c’est ce qu’il fait réellement : il expédie du «fret» chez lui en Grande-Bretagne en tant que corsaire. Les avocats du Barreau font la même chose, uniquement pour le pape. Si vous êtes un Américain, ou quiconque d’autre ayant d’autres valeurs, il n’y a aucune raison d’adhérer au Barreau en premier lieu. Si vous l’avez déjà fait par erreur, corrigez l’erreur et restez ferme à ce sujet. Il suffit de rompre les contrats implicites «volontaires» que l’adhésion au barreau vous confère et de devenir conseiller juridique à la place.
La pratique du droit est une activité relative aux droits ordinaires dans ce pays et dans une large mesure, dans le reste du monde ; les Ordres des Avocats ont un monopole «auto-régulé» sur une petite juridiction rentable appelée «amirauté spéciale» : le royaume des corsaires opérant par lettres de marque.
Les Ordres des Avocats exercent un monopole syndical sur cette juridiction internationale étrangère et se spécialisent dans la tromperie de personnes imprudentes dans cette juridiction où elles et leurs biens peuvent être «légalement» pillés et détournés. Et c’est ce qu’est la matrice de l’Ordre des Avocats : elle utilise et protège cette juridiction étroitement définie, fait fonctionner le King’s Bench [3] en faveur du roi et obtient de gros pots-de-vin en retour. Si cela ne correspond pas à ce que vous êtes ni à ce que vous voulez accomplir, quittez les Ordres des Avocats le plus rapidement possible. Fuyez Babylone. Il y a des pénalités internationales très sévères qui planent sur les corsaires (et les pirates de l’intérieur) opérant sans références valides ; et depuis 2013, c’est exactement la position de tous les avocats du Barreau Américain.
Le Pape François vous a tous libérés et vous a rendu responsables de vos propres actions via son Motu Proprio ; et comme c’est son autorité qui sous-tend l’autorité du roi à faire fonctionner le King’s Bench, cela vaut aussi pour le système britannique de «l’amirauté spéciale».
Traduit de l’anglais par BibiCabaya (23 janvier 2021).
Source : Anna von Reitz http://annavonreitz.com/hatjburningquestion.pdf
Lien : À l’attention des médecins, soignants et guérisseurs.
Les Notes de BibiCabaya :
1 Qui a produit le Rapport Paradigme (Paradigm Report).
2 Karen Hudes a été avocate à la Banque Mondiale pendant 20 ans.
3 Tribunal de droit coutumier / Common Law au Royaume-Uni.
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