Le mouvement de contestation populaire nommé Gilets Jaunes a démarré depuis une semaine, et partout la question de “la violence vs la non violence” est posée. Certains appellent ouvertement à la prise des armes pour renverser les parasites qui ont pris la France (le pays) et son peuple en otage, et d’autres condamnent les premiers en prônant la non violence… Qui a tort, qui a raison ? Quelle est la recette pour se débarrasser non pas d’un mauvais gouvernement, ce qui ne serait pas si terrible après tout, mais d’une véritable secte mafieuse qui pourrit la vie autrefois exubérante et joyeuse de ce pays ?
Éric Fiorile du CNTF (Conseil National de Transition de France), publiée le 20 novembre 2018 :
La Mite Dans La Caverne sur la question de la violence :
1) Le babtou fragile, ça va bien cinq minutes…
2) Alexandre Benalla, arme de castration massive :
En attendant, la violence des mafieux illégitimes se prépare contre le peuple légitime et souverain, et bien que le danger n’exclut pas l’action :
ATTENTION QUELQUE CHOSE SE PRÉPARE…
Et vous, serez-vous à Paris aujourd’hui, et aurez-vous les armes à la main ou la fleur aux dents ?
Petit rappel et commentaires
(Voir le chapitre L’Union des cow-boys à la page 55 de mon ouvrage Allons enfants de la patrie) :
Article 2, paragraphe 2 de la CEDH (Convention Européenne des Droits de l’Homme) :
«La mort n’est pas considérée comme infligée en violation de cet article dans les cas où elle résulterait d’un recours à la force rendu absolument nécessaire :
• Pour assurer la défense de toute personne contre la violence illégale ;
• Pour effectuer une arrestation régulière ou pour empêcher l’évasion d’une personne régulièrement détenue ;
• Pour réprimer, conformément à la loi, une émeute ou une insurrection.»
La peine de mort sous forme d’exécution sommaire a cours en Union Européenne. Si la peine de mort légale — c’est-à-dire issue d’un procès — a été abolie, c’est pour qu’elle ne puisse jamais toucher l’élite qui la mérite abondamment !
Les gouvernants d’Union européenne (et les nôtres) savent très bien que les peuples ne toléreront pas leurs abus indéfiniment, ni n’accepterons les conditions qu’ils leurs imposent ad vitam aeternam, et qu’ils se soulèveront tôt ou tard. Alors, là encore, ils prennent les devants en s’assurant qu’ils pourront tirer dans le tas (il ne s’agira pas ici de Kärcher, mais de balles réelles d’armes de guerre) pour éliminer tous ceux qui auront eu l’outrecuidance de jouer le rôle du caillou dans leur chaussure…
En d’autres termes, le TCE/Traité de Lisbonne prévoit de nous faire assassiner purement et simplement sans que cela ne soit considéré comme une infraction à la Charte des Droits fondamentaux — et encore bien moins comme un crime — si nous représentons ou tentons de représenter une gêne quelconque dans la réalisation des projets de ses messieurs et dames de la Commission Européenne et mafieux associés qui, rappelons-le à toutes fins utiles, ne sont élus par personne et ne peuvent être révoqués par quiconque.
Le TCE/Traité de Lisbonne est le pur produit d’une secte de rapaces sans conscience et sans humanité, appâtée par le pouvoir et le gain, dont la plupart des membres sont inconnus du grand public.
Les criminels mafieux de la Commission Européenne [des démons sous forme humaine] qui bafouent régulièrement et avec morgue la volonté des peuples ont réussi par la manipulation et la ruse à nous imposer un texte qui nous dénie toute possibilité de lutte contre leur oppression sous peine de mort arbitraire !
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