Le récit d’un soi-disant “haut responsable militaire chinois” qui dévoilerait ce qui ce passe à Wuhan et en Chine — par dégoût des mensonges du Parti Communiste et selon les diktats de sa conscience — ferait, à n’en pas douter, le résumé palpitant d’un scénario de film d’action/d’horreur/thriller. Le narrateur insiste qu’il s’agit de la réalité qu’il a observée, et qui suis-je pour remettre son témoignage de première main en doute… Il se pourrait que le narrateur nous dise la vérité, toujours est-il qu’il y a des choses qui ne s’additionnent pas dans son récit :
1) le narrateur déclare qu’il fait ce témoignage de façon anonyme car, s’il est découvert, sa vie et celle de sa famille (sa femme et son fils) seront en danger. Pourtant, il relate une visite guidée PRIVÉE à l’hôpital Huoshenshan à Wuhan en qualité de haut fonctionnaire. Il est clair que tout le monde ne peut pas, particulièrement en ces circonstances, bénéficier d’une visite privée dans cet hôpital pour être témoin d’aspects et de choses CACHÉES au public. Les gens autorisés à voir les secrets sont triés sur le volet et on imagine aisément que de telles visites, organisées en amont, laissent des traces quelque part… Donc, le fait de mentionner cet épisode met automatiquement le récit du narrateur en doute, ou sa vie en danger : ce que précisément il prétend vouloir éviter.
2) Le fils du narrateur aurait reçu un masque, certes de très haute technologie réservé aux très hauts fonctionnaires et à leurs familles, mais usagé, et il aurait de ce fait contracté la maladie mortelle… Alors que les parents n’ont pas été soumis à cette discrimination. Honnêtement, pourquoi l’État chinois, ou l’Armée chinoise, aurait-il pris le risque de tuer cet enfant de cette manière ce qui pourrait déclencher un désir de vengeance chez son père qui consisterait à balancer tout ce qu’il sait (et il en sait beaucoup vu son rang dans l’Armée) ? Si l’État chinois tient à ce que ce qui se passe actuellement à Wuhan et dans le reste de la Chine reste sous le boisseau, il ne mettra pas cette décision en danger en tuant le fils d’un de ses hauts fonctionnaires militaires… tout en laissant ce dernier en vie. Ça ne colle pas.
3) Je ne crois pas une seconde que les fils de Satan qui commettent de tels crimes — SIDA, Ebola, H1N1, malaria, etc., y compris la grippe espagnole qui a tué, dit-on, 60 millions de gens, soit plus que la guerre elle-même — ne se soient pas assurés qu’il existe un antidote pour EUX !!! Il est vrai qu’ils ont des bunkers, mais je ne crois pas qu’ils désirent vivre leur vie — et celles de leurs générations futures — sous terre ad vitam æternam. Les Illuminati/fils de Satan veulent la terre pour eux tous seuls, c’est un fait connu : tout ce qu’ils font vise à accaparer la terre pour leur propre jouissance. J’ai donc du mal à croire qu’ils ne se seraient pas assurés d’avoir un antidote pour surfer sur les épidémies qu’ils nous concoctent. Les bunkers, c’est du temporaire pour être sûrs d’être en sécurité pendant que les humains crèvent la gueule ouverte à la surface. Mais, FATALEMENT, ils sortiront de leurs trous à rat pour s’approprier et profiter de tous les avantages et de toute la prospérité que fournit la terre…
Par contre, ce récit palpitant pourrait tout à fait être une opération psychologique pour nous maintenir dans un état de peur afin que nous ne trouvions pas des solutions à notre niveau. La peur, c’est connu, nous fige sur place et nous empêche d’agir.
En outre, il est intéressant de se rappeler qu’il existe en Chine, comme ailleurs, des villes fantômes prêtes à accueillir des populations… Ce pourrait-il que ces villes aient été construites pour recevoir les rescapés des épidémies criminelles destinés à devenir l’espèce serve de l’élite dans ces villes-prisons nommées «villes intelligentes» ou «smart cities» ? De telles villes existent dans beaucoup de pays ; et puisque elles existent, cela signifie que les criminels qui agissent en toute liberté pour diminuer la population mondiale à leur avantage DISPOSENT de l’antidote à toutes les épidémies qu’ils nous concoctent.
Si vous voulez lire le récit en question, suivez ce lien.
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