RÉPONSE À VALÉRIE BUGAULT

Valérie Bugault

Par BibiCabaya

Ceci est ma réponse à l’article de Valérie Bugault, docteur en droit privé de l’Université Panthéon-Sorbonne et avocate, intitulé «L’escroquerie de la prétendue “fraude au nom légal”», publié le 21 juin 2020 par Strategika, qui prétend analyser les tenants et les aboutissants de cette soi-disant supercherie…

Je m’inscris évidemment en faux avec les écrits de Valérie Bugault sur cette question puisque depuis 2014 j’expose, entre autres, la «personnalité juridique» comme étant un outil d’asservissement du genre humain. Il est évident, en lisant son article, que certaines informations lui font défaut pour comprendre la magistrale arnaque qu’est la «personne juridique», c’est-à-dire une réelle escroquerie… mais force est de constater que l’auteure ne s’est pas donné la peine de rechercher ce sujet dont elle ignore la teneur.

Je suis surprise des termes employés par l’auteure pour qualifier les revendications/démonstrations de ceux et celles qui prétendent que le système d’état civil est une fraude, voire une forfaiture contre les Hommes et les Femmes, créatures du Créateur Primordial dans Sa Création. Je trouve, d’ailleurs, choquant l’utilisation de termes insultants et méprisants dans la mesure où j’estime qu’il n’est pas nécessaire de les employer pour infirmer une idée, un concept, une analyse, etc., si l’on a les arguments pour le faire, c’est-à-dire des faits étayés… ce que l’auteure n’a pas produit, préférant se cantonner à la diatribe.

J’ai relevé les termes/expressions suivants :

  • la farce,

  • cette escroquerie,

  • les fausses informations,

  • un fatras d’idées saugrenues,

  • on veut nous faire croire que,

  • l’escroquerie juridique,

  • l’ignorance et la crédulité publiques,

  • cette histoire rocambolesque,

  • incriminer l’Église catholique…

Je vais répondre à ce surprenant pamphlet de façon ciblée, c’est-à-dire en distinguant les idées reçues/exposées et en y répondant spécifiquement. Mais commençons par un peu d’Histoire, selon les souhaits même de l’auteure. Dans la dernière partie de son texte sous-titrée «La mise en cause des fondements de la civilisation occidentale par l’escroquerie appelée “fraude au nom légal”», Valérie Bugault déplore que (mon emphase en rouge) :

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«Certains interprètes de la prétendue ‘fraude au nom légal’ vont jusqu’à incriminer l’Église catholique, qui est en effet historiquement à l’origine de la constitution des états civils, pour prétendre qu’elle est à l’origine de la mise en esclavage commerciale des individus par l’autorisation du ‘certificat de naissance’ [1]. Nous atteignons ici le comble de l’ignorance et de la manipulation ! Il importe de rétablir quelques vérités historiques !

À la chute de l’empire Romain, la vie sociale a été profondément désorganisée dans les territoires anciennement régis par l’empire romain d’occident. Dans ce contexte d’extrême dénuement social, c’est l’Église catholique qui a entrepris de reconstruire la société en organisant, dans chaque village, des services d’états civils dans le même temps qu’elle réorganisait les territoires en rendant le service de la ‘justice’, sans lequel aucune vie en société n’est possible. Ainsi, l’Église catholique, loin d’organiser le nihilisme social des globalistes d’aujourd’hui, a tout au contraire historiquement posé les fondements d’un renouveau de la vie collective et sociale. Nous sommes là aux antipodes des velléités globalistes actuelles qui veulent nous faire passer des vessies pour des lanternes en mettant le principe même de l’Église catholique au banc des accusés.

Si l’actuelle Église catholique a en effet trahi tous ses engagements historiques, ce n’était pas le cas de celle qui a suivi la chute de l’Empire romain : il faut bien prendre garde, dans ce domaine, de ne pas jeter le bébé avec l’eau du bain ! Car la civilisation occidentale doit tout à l’Église catholique ! Il est également vrai que cette Civilisation devra sa très prochaine disparition à l’infiltration de l’Église catholique par les globalistes. Pour dire les choses autrement : l’actuelle disparition de la civilisation occidentale est intimement liée à la disparition de l’Église catholique, laquelle a aujourd’hui renié tous ses fondamentaux historiques pour s’imprégner, jusqu’au cou, des intérêts privés propres à la cause globaliste ; lesquels intérêts sont de nature essentiellement esclavagiste. L’Église catholique actuelle est l’antithèse de l’Église catholique qui a initié la Civilisation occidentale.»

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Pour commencer, l’Église catholique n’a pas inventé l’état civil, ce dernier existait déjà dans la Rome antique [2]. Les citoyens étaient régulièrement recensés tous les cinq ans car le recensement, en latin census (l’ancêtre de l’état civil ayant servi à son élaboration), est lié au paiement de l’impôt, entre autres : l’Empire compte son cheptel pour calculer ses recettes. C’est encore le cas aujourd’hui. Pour leur part, les esclaves étant considérés comme des biens meubles, ils étaient probablement comptabilisés sur les registres patrimoniaux de leurs maîtres (toujours pour faisons fiscales). Ce sont d’ailleurs les Romains (selon l’Histoire officielle) qui ont conçu les degrés de «capacité juridique» («privilèges et devoirs» dans le cadre des statuts [3] de l’Empire) associée à chaque catégories d’habitants : les nobles (les maîtres) [capitis diminutio minima], les hommes libres et les affranchis [capitis diminutio media] et les esclaves [capitis diminutio maxima]. Donc, prétendre que l’état civil viendrait de l’Église catholique est déjà une erreur.

Nous savons que pendant longtemps, dans les civilisations traditionnelles à travers le monde, y compris la nôtre en Occident, les gens dits du «petit peuple» n’avaient souvent pas de noms de famille. Ils n’avaient que leurs prénoms, donnés par leurs parents (ou par le druide/shaman/prêtre tribal/etc.). Les nobles, eux, avaient des noms de famille généralement liés au lieu d’habitation car ils avaient un patrimoine à léguer et qu’il était nécessaire d’éviter toute confusion quant aux testateurs et à leurs héritiers. Et, du coup, il semblerait que le nom de famille soit associé aux biens matériels : pas de biens à léguer => pas de nom de famille, patrimoine à léguer => nom de famille…

Nous savons aussi que les peuples libres le sont restés fort peu longtemps dans la mesure où ils ont pratiquement tous été «pacifiés et unifiés» ― pacifiés signifie massacrés et unifiés signifie asservis (s’agissant des rescapés) ― sous la férule d’un Roi ou d’un Empereur, souvent étranger. C’étaient les Rois et leurs seigneurs vassaux qui distribuaient la «justice». Le Roi la distribuait à ses nobles vassaux et les seigneurs vassaux aux manants. Il existait bien des «tribunaux» à ces époques- mais allez savoir pourquoi ils se rangeaient toujours du côté du Roi ou du Seigneur… qui payait probablement leurs émoluments (plus ça change, plus c’est pareil ! 😃😃). Toutefois, nous savons également que quand, plus tard, l’Église catholique est devenue puissante (à force de manipulations, de magouilles, de trahisons, de forfaitures et autres rapines), elle a finalement mis sur pied sa Sainte Inquisition, on parle ici des XIIIè et XIVè siècles pour la FranceInquisition qui visait à garder les ouailles dans le «droit chemin» des dogmes établis par l’Église et souvent contraires aux enseignements bibliques et d’éviter qu’ils ne posent trop de questions qui fâchent… car quand l’Inquisition se fâchait, ça sentait le roussi 😃😃 ! La civilisation «française» (la France s’appelait Gaule il y a encore à peine 3 siècles soit jusqu’au XVIIè siècle) est fort antérieure à la «justice» de l’Église et à l’Église tout court.

Fait d’importance : en 1302, le Pape Boniface VIII émit une bulle papale nommée Unam Sanctam proclamant la suprématie de l’Église sur l’État et, de ce fait, l’obligation pour toute créature humaine de se soumettre au souverain pontife [4]. Mais l’Église ne s’arrêta pas en si bon chemin car, tristement, elle fait partie des premiers «globalistes» terme anglo-saxon… nous dirons plutôt mondialistes que Valérie Bugault fustige sans pour autant pouvoir les distinguer correctement. En effet, Unam Sanctam est un des plus effrayants documents de l’Histoire et celui qui est le plus cité en tant que document source des papes revendiquant leur pouvoir mondial. La dernière ligne de cette bulle se lit : «De plus, nous déclarons, nous proclamons, nous définissons qu’il relève d’une nécessité absolue pour la rédemption de chaque créature humaine d’être assujettie au Pontife Romain C’est non seulement le premier acte de fiducie de l’Histoire, mais également la plus importante fiducie jamais conçue dans la mesure où elle revendique que la planète entière et tout ce qui s’y trouve soient transmis à la fiducie dont le Pape, un seul homme, est l’administrateur, c’est-à-dire le décideur. Donc, par l’émission de sa notoire Bulle Papale, Boniface revendiqua le contrôle de la planète entière ce qui fit de lui le “Roi du Monde”, autrement dit un mondialiste. Puis, en 1455, c’est au tour du Pape Nicolas V d’émettre sa Bulle Papale, Romanus Pontifex, qui est l’une des trois bulles papales à inclure la phrase qui suit dans l’incipit «En mémoire perpétuelle». L’effet de cette bulle fut de transmettre le droit d’usage de la terre en tant que bien immobilier, à partir de la fiducie expresse Unam Santam, au contrôle du Pape et de ses successeurs à perpétuité. À partir de ce moment, toute terre fut revendiquée comme étant “terre de la Couronne”. Il s’agit de la première Couronne représentée par la première fiducie Cestui Que Vie créée quand un enfant naît ; elle le prive de tout droit de propriété et droits sur la terre [5] (la terre créée par le Créateur Primordial et donnée en héritage et en partage à Ses créatures et non créée par un pape ni par l’Église catholique). C’est de l’esclavage pur et simple, pas tant une œuvre de charité, mais plutôt exactement ce que font les mondialistes aujourd’hui qui accaparent tout (privatisations) et font payer pour TOUT : ils sont à l’œuvre pour nous faire payer pour respirer (taxe carbone)…

Ne serait-ce qu’avec ces deux bulles papales, l’Église a, en effet, organisé le «nihilisme social» puisque, par ce moyen, elle a renié aux Hommes et aux Femmes leur Héritage reçu du Créateur Primordial et leur a enlevé leurs droits et libertés naturels de jouir de la terre gratuitement, les transformant ainsi en bétail docile, puisque appauvris, afin de poursuivre ses aspirations qui n’avaient rien de commun avec l’élévation spirituelle ou la justice sociale. Les velléités mondialistes de l’Église catholique sont démontrées, entre autres, par ces documents qui datent de plusieurs siècles jusqu’à aujourd’hui, puisque le Pape est le chef suprême de la City de Londres et de Washington D.C. : deux monstruosités prédatrices et esclavagistes.

Donc, pour reprendre de façon objective cette partie du texte de Valérie Bugault, voici ce que je peux en dire :

  1. l’Église catholique est incriminée car elle est, en effet, coupable.

  2. On ne prétend pas que l’Église catholique est à l’origine de la mise en esclavage commercial des «individus», on le démontre par ses propres documents séculaires.

  3. S’il y a eu ignorance et manipulation, cela ne peut venir de ceux qui ont révélé ces informations véridiques. En l’occurrence, je dirais que l’ignorance est celle de Valérie Bugault et la manipulation celle de l’Église.

  4. Les vérités historiques ont été rétablies comme le démontre cet exposé.

  5. Le but de l’Église catholique n’était pas de reconstruire la société mais de la façonner selon ses intérêts qui ont été, tout au long de son histoire, politiques (domination) et économiques (accaparement).

  6. Si l’Église catholique avait rendu justice, non seulement cela se saurait, mais elle ne serait pas aujourd’hui assise au travers de sa Banque du Vatican sur des milliards voire des billions de dollars alors que le monde dans sa grande majorité crève la dalle [6].

  7. L’Église catholique est l’antre de Satan qu’elle adore. Elle participe à la traite des êtres humains par au moins une de ses nombreuses filiales, Ndrangheta, qui pratique des rituels sataniques sur des enfants meurtres compris qui, à mon sens, participe bien du «nihilisme social» qui n’est pas l’apanage des seuls mondialistes d’aujourd’hui, mais de tous les mondialistes de tous les temps, et Dieu sait qu’il y en a eu !

  8. L’Église est accusée pour de très bonnes raisons car elle a toujours trahi ses engagements. Seuls les ignorants, les trolls et autres agents de la Matrice y verraient des «vessies» , alors que tout est clair comme de l’eau de roche sauf pour ceux et celles qui n’ont pas d’yeux pour voir ; mais la Bible ne dit-elle par «Ayant des yeux, ne voyez-vous pas ? Ayant des oreilles, n’entendez-vous pas ?» (Marc 8:18) ?

  9. Je ne crois pas que la civilisation occidentale doive «tout à l’Église catholique» car les fondements de cette civilisation remontent très loin dans le temps, même avant l’instauration de l’Église. Personnellement, j’arrive à faire la différence entre l’Église catholique (de tous temps un repaire de malfrats et de criminels dans les rouages du Vatican ―  je ne parle pas des petits curés de campagnes et de villes…) et les enseignements bibliques qui n’ont rien à voir avec elle. En effet, l’Église s’est emparée de ces enseignements pour asseoir une domination sur le monde, mais elle n’en est pas l’auteure ni ne les a jamais suivis elle-même(«Faites ce que je dis, pas ce que je fais…»).

Venons-en maintenant à la première partie du texte de Valérie Bugault qui est sous-titrée «Les tenants et les aboutissants civilisationnels de l’escroquerie appelée “fraude au nom légal”» (mon emphase en rouge) :

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«Il y a, derrière cette escroquerie, tout un fatras d’idées toutes aussi saugrenues les unes que les autres et mélangeant, selon la méthodologie habituelle des globalistes, les vraies et les fausses informations.

D’un côté on constate que les États, entités de droit public, sont réellement inscrits en tant qu’entités commerciales sur des registres du commerce anglo-saxon, ce qui a pour effet de leur dénier toute vocation politique. D’un autre côté on veut nous faire croire que l’institution de l’état civil est initialement corrompue est aurait pour effet de nous mettre en esclavage en faisant passer les humains, dès leur naissance, pour du capital. Ce mélange de vrai et de faux, a pour objectif ultime de laisser croire aux individus que l’état civil lui-même est frauduleux ; la conclusion qui s’impose naturellement serait donc, dans l’idéal, de renoncer au susdit état civil et donc à son nom et à sa filiation.

Tiens, comme c’est curieux… cela nous rapproche furieusement de l’objectif globaliste qui tend à faire perdre aux individus leur identité culturelle et personnelle, afin de mieux les contrôler. Car il est plus simple de contrôler un individu isolé de toute histoire, disposant dès lors d’une volonté très amoindrie, qu’un individu rattaché fermement à un groupe humain et à une histoire personnelle et collective.

Dans cet ordre d’idées, la distanciation entre l’état civil des individus ainsi que leur mise sous tutelle commerciale a déjà des antécédents juridiques dans nos pays, anciennement régis par le droit continental. Citons pêle-mêle : la légalisation des méthodes de PMA, de GPA, la survalorisation des droits (et non des devoirs !) de catégories sociales telles que les femmes, les enfants… Les droits sont ainsi toujours appelés en renforts pour mettre en œuvre l’isolement social ; une supercherie consistant à faire appel aux instincts primaires des individus pour les isoler et ainsi atomiser le groupe social lui-même.

C’est précisément cette méthode qui a été utilisée par les banquiers commerçants qui ont, au moment de la Révolution de 1789, mis en avant les droits et libertés individuelles, aujourd’hui appelés Droits de l’Homme, pour mieux faire disparaître la notion de groupe et d’intérêts de groupe. Seule l’exaspération juridique des droits individuels a pu faire oublier que ces derniers n’avaient de valeur que dans le cadre d’un groupe constitué, qu’il aurait fallu préserver ! La méthode, très efficace, a fait ses preuves : on exacerbe des sentiments individualistes tout en organisant la disparition de leur pertinence ! Car on sait ce que l’exacerbation des prétendus «droits individuels» recoupe : une mise en esclavage forcée de l’humanité au profit des dominants économiques ; le monde rêvé des globalistes ! Le «droit» isole pendant que le «devoir rassemble.

Cet état d’esclavagisme légal par la mise en œuvre de la servitude volontaire via l’exacerbation des «droits individuels» passe par la disparition de l’histoire collective et de l’histoire individuelle. Ainsi, chacun aura remarqué que la disparition des enseignements historiques chronologiques, quelle que soient les matières (y compris dans les sciences dites dures), est maintenant acté par les pouvoirs publics français, lesquels suivent, et même souvent devancent, les lignes de conduites émanant des «instances» internationales contrôlées par les globalistes.

Quant à la disparition de l’histoire individuelle, elle aura pour point d’aboutissement le transhumanisme et se contente aujourd’hui de la légalisation, à marche forcée, de la marchandisation du corps, des produits du corps humain et plus généralement du vivant. Le prétendu Etat français – seule sa coquille persiste, vidée de toute substance politique réelle – met, une fois de plus, beaucoup de zèle à traduire en terminologie légale, à la mode réglementaire des pays anglo-saxons dominants, l’esclavagisme des individus sous prétexte de leur libération de toute entrave générée par les liens socio-culturels.»

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Je ne cache pas ma déception d’avoir à subir un tel «fatras d’idées saugrenues et de fausses informations» !!! Valérie déclare que la fraude au nom légal est une escroquerie mais, à aucun moment, elle ne démontre le mécanisme qui révélerait cette «escroquerie». En effet, tout est mélangé dans son texte sans mesure ; tout est lâché en pâture. Aucune distinction n’est faite afin de contredire ceux qui disent que l’état civil est un outil d’asservissement comme l’est la monnaie car Valérie n’a pas prouvé, ni n’est en mesure de prouver, le contraire. En effet, j’ai exposé plus haut que l’objectif du recensement et de l’état civil est de réduire les Hommes et les Femmes vivants à l’état de «ressources humaines» c’est-à-dire d’outils, de moyens, de marchandises, de commodités rapportant de l’argent à des tiers.

Maintenant, nous allons voir comment Valérie Bugault tente de «nous faire croire que» l’histoire individuelle et collective des Hommes et des Femmes de la Création, dans leurs communautés respectives, dépendrait de l’état civil qui n’a pas été créé par le Créateur Primordial, et n’a donc pas toujours existé au cours de l’Histoire des Hommes, et comment leurs droits naturels et imprescriptibles accordés par le Créateur, par droit de naissance dans Sa Création, seraient un frein au bien vivre ensemble… Il fallait y penser 😃😃 !! Il semblerait que Valérie se croit au-dessus du Créateur pour s’imaginer qu’elle pense mieux que Lui comment Il aurait dû organiser Sa propre création ! Cela rappelle un peu la petite pisseuse de pseudo journaliste de BFMTV qui expliquait au grand Professeur Raoult qu’il aurait dû faire ceci-cela… C’est aussi comme les pseudo scientifiques qui s’autorisent à «corriger la Nature», comme si le Créateur avait fait des erreurs. J’ai tendance à me méfier naturellement des gens qui pensent qu’ils pourraient faire mieux que le Créateur de l’Univers !!! 😃😃😃 C’est instinctif chez moi… Le monde est rempli de telles gens et nous voyons bien où cela mène. D’ailleurs, Valérie parle même de «prétendus droits individuels» comme si ces derniers étaient des lubies. C’est assez grave. Même les Illuminati ont dû reconnaître ces droits dans leurs nombreux documents (même si, dans les faits, ils font tout pour les piétiner). Mais Valérie prétend qu’ils n’existent pas ; pour elle, ce ne sont que des idées… saugrenues ?

De tous temps, les gens sont nés, ont reçu des noms de leurs parents (surnoms et prénoms) et ont vécu leur vie en connaissant leur histoire individuelle et collective. Même aujourd’hui, il existe des millions de gens dans le monde qui ne sont pas inscrits à l’état civil ― c’est si vrai que l’ONU organise des campagnes «d’information» afin que ces gens aillent se déclarer. C’est vrai en Afrique mais pas seulement [7]. Est-ce à dire que ces gens qui n’ont pas d’acte de naissance ni de numéro de sécurité sociale (les deux vont de paire) ne connaissent pas leur histoire individuelle ou collective ? Je parie que, contrairement à nous qui sommes «enregistrés» tels des «choses mortes» ou des marchandises sur les registres commerciaux de l’état civil ― c’est-à-dire les registres comptables d’une boîte privée ― pourraient déclamer les noms de leurs ancêtres sur 20 générations et parler des hauts faits de leurs vies alors que nous peinons à nous en souvenir ― si nous les avons jamais sus ― passé les aïeux… Connaissez-vous le prénom de votre aïeul (père d’un de vos grand-parents) ou de son père ou sa mère ? Connaissez-vous l’histoire de sa vie ? Beaucoup de «contes et légendes» qui sont, en fait, on le découvre de plus en plus, des événements historiques, ont été passés à la postérité, siècle après siècle, par voie orale ou écrite sans support de l’état civil. Valérie devrait se rentrer dans le crâne que la filiation n’est pas un «concept juridique» mais une réalité génétique, donc naturelle. Par conséquent, nul besoin d’état civil (domaine juridique) pour connaître sa filiation et son Histoire : pendant des millénaires, les gens ont su d’où ils venaient et de qui ils provenaient sans état civil.

Je trouve grotesque de prétendre que la connaissance de notre histoire individuelle, familiale ou communautaire serait liée à quelque déclaration sur des registres privés quels qu’ils soient. Autrefois, quand les gens se mariaient, il inséraient une note avec la date de leur mariage dans leur Bible. Idem à la naissance de leurs enfants. Est-ce à dire, là encore, qu’ils ne pouvaient pas suivre leur historie individuelle ou familiale ou celle de leur communauté ? Vraiment, je ne vois pas le rapport. Le voyez-vous ? Nous connaissons un peu d’Histoire et nous la connaissons grâce, entre autres, à des documents personnels laissés par des gens qui ont vécu à d’autres époques ou grâce à des légendes véhiculées oralement. Comme il n’y avait pas d’état civil à ces époques-là, nous le savons autrement que par ce moyen. Donc, l’état civil n’est pas l’unique moyen de conserver la mémoire de notre histoire individuelle ou collective. Pourtant, Valérie Bugault l’affirme de façon péremptoire.

Mais, il y a une lueur d’espoir : Valérie reconnaît que les «États» sont des entités commerciales enregistrées sur les registres commerciaux internationaux privés, mais elle continue de parler de «droit public» s’agissant de ces entités… Les entités commerciales ne sont régies que par le droit maritime (= droit commercial) elles prétendent faire usage de droit public pour leurs «politiques publiques» (qui sont des directives commerciales), mais ce n’est pas le cas, c’est un leurre, c’est un piège, c’est une fraude et un crime contre l’Humanité. On garde le terme «droit public» mais c’est de tout autre chose dont on fait usage. Même leurs tribunaux sont des tribunaux de pirates (= droit maritime/commercial). Le droit international est ce même droit maritime/commercial régi par l’UCC (Uniform Commercial Code) et tous ses équivalents internationaux. Tout est commercial dans un système d’entités commerciales privées = corporatocratie = fascisme, mais Valérie a du mal à l’accepter.

Ce qui nous «isole de toute histoire» c’est le fait que tout ait été mis en œuvre pour anéantir l’unité familiale qui est le socle de la société et qui «rattache l’individu fermement à un groupe humain et à une histoire personnelle et collective». La famille reste le socle sociétal, pas l’état civil. Même les animaux reconnaissent leurs groupes d’appartenance familial et communautaire, mais Valérie prétend que les Hommes et les Femmes n’en sont pas capables à moins d’avoir été, au préalable, enregistrés sur des registres commerciaux privés nommés «registres de l’état civil». Les Illuminati sont parvenus à détruire ce socle familial en dépit de l’état civil, de l’acte de naissance et de la Sécurité sociale. Ce qui revient à dire que l’état civil ne protège pas notre histoire individuelle ou collective, contrairement aux assertions non fondées et totalement fantaisistes de Valérie Bugault, puisque cet état civil est basé sur des règles statutaires privées qui peuvent être changées à tout moment pour obtenir les résultats escomptés par les dirigeants d’entreprises qui se font passer pour des gouvernants politiques : le divorce, l’avortement, le rapt d’enfants protection de l’enfance»), la PMA/GPA, le concept de «parent 1 et parent 2», l’assassinat des enfants intra-utérins de 9 mois (loi bioéthique), etc. La famille est précisément «ce groupe constitué qu’il aurait fallu préservé» et, à l’évidence, l’état civil n’y est pas parvenu et ne le peut.

Les droits de l’Homme et de la Femme sont accordés, nous l’avons vu, par le Créateur de l’Univers, et le SEUL devoir des Hommes et des Femmes sur terre est de se soumettre à leur Créateur, c’est-à-dire de suivre Ses Lois. Les Hommes et des Femmes n’ont aucun autre «devoir» sur terre. Et ils n’en ont pas besoin car si chaque Homme et chaque Femme suit les Lois du Créateur de l’Univers, la vie devient un paradis sur terre. De même si chacun préserve les droits de son prochain comme les siens, la vie devient paradisiaque. Être conscient de ses droits ne relève pas de «l’instinct primaire» mais de l’Éveil et de la compréhension de notre nature divine. S’il est vrai que les francs-maçons de la Révolution de 1789 ont utilisé les «droits de l’homme» pour arriver à leurs sinistres fins, cela ne veut pas dire (1) que ces droits n’existent pas ou (2) qu’il faudrait les anéantir. On utilise des couteaux pour tuer des gens, est-ce à dire qu’ils devraient être retirés de la circulation et qu’on devrait empêcher les ménagères de les utiliser dans leurs cuisines ?

Valérie a du mal à comprendre que ce n’est pas «l’exacerbation des droits individuels» qui a mis en œuvre «la servitude volontaire» (de mon point de vue, la servitude involontaire vu qu’il s’agit d’une fraude) mais «LE DROIT», autrement dit la paperasse juridique ( LA LOI), c’est-à-dire les règles statutaires privées de particuliers agissant au sein de leurs entreprises dans leurs seuls intérêts. Elle n’est pourtant pas loin de comprendre puisqu’elle mentionne «cet état d’esclavagisme légal» (= issu de cette paperasse) mais, tristement, elle l’attribut injustement et maladroitement aux droits individuels, ne réalisant pas que si ces droits individuels avaient précisément été respectés, l’asservissement n’eut pas été possible.

Elle mentionne également «les pouvoirs publics français» alors qu’il n’y a PLUS de pouvoirs publics (français ou autres) depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale (à quelques très rares exceptions près) car c’est à ce moment qu’eut lieu la plus grande forfaiture sur les peuples : leurs pouvoirs publics légitimes se sont mués, à leur insu, en sociétés commerciales privées. Il me semble que tant que l’on évoquera les «pouvoirs publics», ce sera un signe que l’on n’accepte pas la situation réelle et que l’on cherche à se bercer d’illusions. Leclerc pas plus que Carrefour ne sont des «pouvoirs publics» même s’ils rendent disponible la nourriture indispensable, n’est-ce pas ? «République française» non plus, car il s’agit d’un consortium d’intérêts privés pour lesquels on assassine la famille, on détruit l’économie réelle, on détricote les acquis sociaux, on instaure l’indigence généralisée et la surveillance à grande échelle, et on tente d’abolir les droits divins des Hommes et des Femmes… Aucun État légitime n’agirait de la sorte car un État légitime n’est pas soumis à l’impératif de profits… contrairement aux sociétés commerciales. Et pour ce qui est des «instances internationales», il faut comprendre que Government Of The French Republic (gouvernement de la république française) sont deux sociétés étrangères privées dont les sièges sociaux se trouvent aux États-Unis (New York et Washington DC) régies par l’UCC = «la mode réglementaire des pays anglo-saxons dominants». Nul doute que ce sont ces deux sociétés (du même nom) qui sont, elles aussi, des «instances internationales» qui ont pris le pays charnel et réel en otage. Mais, là, Valérie digresse ; elle n’est plus vraiment dans le sujet vu qu’il ne lui a pas été possible de démontrer la prétendue escroquerie de «la fraude au nom légal».

Il ne vous aura pas échappé que pas un seul paragraphe de cette partie du texte de l’auteure n’a démontré «les tenants et les aboutissants civilisationnels de l’escroquerie appelée fraude au nom légal». L’auteure s’est lancée dans une diatribe générale dont on ne sait plus trop qui en est la véritable cible : elle tire sur tout ce qui bouge. Elle m’apparaît victime des carences orchestrées par «l’Éducation nationale»…

Et pour finir, voici le dernier extrait du texte de Valérie Bugault sous-titré «Le Canada, origine géographique de la prétendue fraude au nom légal» (mon emphase en rouge) :

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«Il faut bien comprendre que l’escroquerie juridique, appelée « fraude au nom légal » vient d’un pays à cheval entre deux cultures : le Canada. Baigné dans le contexte commercialiste véhiculé par le “droit” anglo-saxon, ce pays se souvient vaguement, ou espère vaguement se souvenir, qu’il est possible de concevoir le monde autrement que par le prisme commercialiste déformant. C’est sur un tel substrat culturel que les globalistes ont pu imaginer ce plan, qu’il faut se résoudre à qualifier de diabolique, consistant – une fois de plus – à exploiter l’ignorance et la crédulité publique, afin de faire avancer leur double agenda globaliste consistant à valider :

  • L’isolement des individus, réduits à la portion congrue de quasi seuls tubes digestifs aptes à engloutir du sucre et des produits toxiques. Les organes génitaux devenant de simples outils de jouissance, elle-même de plus en plus virtuelle, ce qui permet de contrôler au mieux la démographie tout en laissant aux individus l’illusion de la liberté et du libre choix ;

  • La décrédibilisation des États, qui légitimera leur disparition ultérieure.

Une fois de plus, nous nous trouvons, avec cette histoire rocambolesque dite de “fraude au nom légal”, dans une situation d’ingénierie sociale consistant à mêler le vrai et le faux tout en validant l’hégémonie anglo-saxonne et la disparition du concept de droit, véhiculé par le seul droit continental, lequel est dès lors relégué aux oubliettes de l’histoire. En l’occurrence, avec cette “fraude au nom légal”, les globalistes font avancer leur projet de déconstruction de l’histoire et de disparition du concept même de “civilisation”. Car Histoire et Civilisation supposent – ce sont des conditions sine qua non – une identification claire et précise des individus, seule à même de valider l’existence et la viabilité d’une vie collective effective.

Il convient d’insister sur le fait que par cette prétendue “fraude au nom légal”, les tenants du système britannique identifient le “patronyme”, issu de l’état civil des personnes, avec la notion de “personne morale” pour prétendre à la fictivité intégrale de toutes les entités juridiques. Confondre personne physique et personne morale est une très grave ignorance des processus de formation du droit car cela revient à confondre abstraction et fictivité ! C’est aussi une manipulation de la psyché humaine dans le sens du nihilisme.

Si la personne morale est une réelle fictivité juridique, inventée de toute pièce pour les besoins du commerce – surtout pour ceux des banquiers-commerçants – le patronyme ne relève pas, et n’a historiquement jamais relevé, d’une quelconque fictivité juridique. Il s’agit d’un processus d’identification, relevant d’une abstraction, comme le langage ou la comptabilité, destinée à permettre la vie en Société, et donc le développement d’une Civilisation. Car en effet, la vie en Société suppose que les individus sachent à qui ils s’adressent. La connaissance et l’identification des êtres par rapport à leur lignée et à leurs ancêtres appartient à ce processus de mise en confiance et de connaissance qui permet l’établissement de relations sociales, fait d’échanges entre les individus. Il faut se souvenir que derrière la filiation se dessine les contours de la transmission des biens matériels et des valeurs immatérielles propres aux différentes lignées.

A cet égard, il n’est ni étonnant ni anodin de constater que le processus d’effacement de l’identification des humains selon leur lignée va de pair, en Occident, avec la disparition des héritages, c’est-à-dire des biens matériels. Des individus dénués de biens matériels n’ont peu à peu plus rien à échanger. Il ne leur restera finalement qu’à offrir à leurs maîtres leur force de travail. Ce qui nous ramène, une fois de plus, au brevet déposé par Microsoft en juin 2019 consistant à lier l’affectation monétaire, par minage de monnaie, à une activité physique du corps humain. Nous aurons ici terminé définitivement la phase civilisationnelle de l’Occident pour valider sa disparition, qui entraînera de façon prévisible, celle du genre humain et du vivant !»

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Autant d’incompétence juridique à ce niveau académique et professionnel, ça troue le cul ! Alors je dis bien fort à Valérie Bugault que ce qui est juridique est nécessairement fictif étant donné qu’il est question de concepts intellectuels, c’est-à-dire de choses SANS FORME NI VIE, ce qui est la définition de fictif. Quant à tenter de faire valoir l’abstraction pour voiler la fiction, c’est ce que j’appelle de la manipulation.

«Personne» est une qualification juridique ― un concept ― créée par des Hommes et des Femmes. Les Hommes et les Femmes sont des êtres vivants créés par le Créateur de l’Univers et sont, par conséquent juridiquement inqualifiables puisque ne relevant pas du domaine juridique (pas des «personnes») mais du seul domaine naturel (créations du Créateur). En d’autres termes, les Hommes et les Femmes ne sont pas des «sujets de droit » ; je sais, Valérie va bondir ! C’est pourtant la stricte vérité, et je suis consciente que la pilule est dure à avaler, particulièrement pour les gens tels que Valérie Bugault qui ont fait carrière dans le juridique. Nul n’aime remettre en question ce qu’il a toujours connu et accepté pour vrai.

Le droit continental est issu du droit romain (= droit commercial) et n’a rien à voir avec LA LOI du Créateur transmise par la Loi Biblique (ou directement par le développement de la conscience). C’est précisément par «le droit» (ramassis de concepts foireux, intéressés et subjectifs) que les Illuminati ont réussi à nous embobiner et à nous asservir car nous avons cru ― pendant un temps ― que «le droit» était LA LOI. Mais nous avons depuis ouvert nos yeux. «Le droit» n’est pas LA LOI car LA LOI, comme je l’ai dit, régit les Hommes et les Femmes sous la seule autorité du Créateur et non sous l’autorité d’autres Hommes et Femmes, voire de démons, au travers de leurs conceptions juridiques subjectives, intéressées et foireuses [8].

Dans ma vie personnelle, je connais beaucoup de gens que je peux identifier sous leur seul prénom, voire un surnom. Je distingue très nettement mon histoire avec eux et je suis sûre que c’est également le cas pour eux vis-à-vis de moi. Parfois, j’ai le patronyme/matronyme en plus du prénom mais dont je ne suis pas sûre que ce soient les mêmes que ceux associés à la fraude du nom légal les concernant et je m’en fous totalement. Du reste, je n’ai jamais ressenti le besoin de m’enquérir de la lignée des gens que je rencontre pour avoir l’impression de mieux les connaître. C’est d’un ridicule ! C’est une idiotie totale !

J’ai travaillé pour et avec des gens au sein de diverses entreprises et jamais je n’ai eu besoin de demander à mon patron ou à mes collègues le nom de tous les individus de leurs familles jusqu’à cinq générations en arrière pour avoir l’impression de connaître ou d’apprécier mon histoire personnelle avec eux. À ce jour, je ne connais pas le nom de leurs parents ni de leur fratrie, pourtant je les connais et les reconnais, eux. Idem pour mes voisins dont je ne connais pas tous les noms de famille car on s’appelle par nos prénoms. Donc, j’ai du mal à saisir en quoi l’état civil serait capital dans «la validation de l’existence et la viabilité d’une vie collective effective». Tout ça, c’est du charabia de juriste, de l’entourloupe, de la poudre aux yeux, et c’est bien ce qu’ils font ces gens, car n’oublions pas que ce sont les juristes (avocats, etc.) qui nous ont foutu dans cette merde avec un charabia qu’ils appellent «DROIT» alors qu’ils auraient légitimement dû l’appeler «TORDU».

Ces gens vous balancent des phrases toutes faites à la gueule pour vous donner l’impression qu’ils savent des choses que vous ne savez pas et qu’ils ont supposément compris mieux que vous, alors que ce qu’ils racontent c’est du flan qui prouve précisément qu’ils n’ont rien compris et qu’ils ne savent rien : il suffit de lire ce texte de Valérie Bugault pour s’en rendre très rapidement compte. C’est d’ailleurs pour cette raison précise que j’ai décidé de lui répondre car j’estime qu’il y en a marre que ces gens passent leur temps à tromper l’Humanité avec des «mots savants» et des «formules toutes faites» du haut d’un pedigree académique (comme certains médecins qui nous disent que l’hydroxychloroquine ne sert à rien, que le masque nous protège et que les vaccins vont nous sauver la vie) alors que leur attitude n’exprime que leur vacuité, sinon leur duplicité et leur cupidité.

Dans son texte, cette femme n’a avancé aucun argument qui soutient et démontre son axiome de départ qui était que «la fraude au nom légal» serait une escroquerie. Le texte est émaillé d’insultes et d’expressions de mépris sans aucune démonstration de ce qu’elle prétend. Voilà comment les juristes nous entubent. Cette femme utilise son doctorat en droit et sa qualité d’avocate pour tromper autrui, alors qu’elle n’a même pas compris la notion de «personne» en droit. Il faut dire que c’est une notion délicate. Alors je renvoie Valérie Bugault à mon article Monde Réel vs Monde Juridique et au téléchargement et à la lecture du très succinct document d’Otravezveolanaturaleza intitulé Je suis conscient du monde réel, qui explique parfaitement ce qu’est une «personne» en droit.

Je suis assez remontée contre cette femme parce qu’elle s’attaque à un des éléments c de la libération de l’Humanité de la Matrice dont les deux piliers sont la finance et «le droit» et elle traite le sujet avec désinvolture, ignorance et incompétence ; ce qui me débecte. Je ne peux pas respecter quelqu’un qui agit de la sorte, d’autant plus que cette fraude au nom légal est parfaitement démontrée depuis des années. Donc la question se pose : Quel est l’intérêt de l’article de Valérie Bugault et pour qui travaille-t-elle ?

J’ajoute que les États se sont discrédités tout seuls en se muant en sociétés privées et en rejetant, de ce fait, le «contrat social» dont ils étaient garants. Leur disparition est donc programmée et coule de source. Les Hommes et les Femmes n’ont pas besoin d’États pour exister et vivre en paix. Ils ont juste besoin qu’on leur lâche la grappe et qu’on ne leur bouffe pas l’air ! 😃😃

Des tonnes de documents sont disponibles depuis des décennies sur le sujet, particulièrement aux États-Unis où la question a initialement surgi et où les premières recherches ont été menées avec succès. Des tas de gens en Australie, Nouvelle-Zélande, Angleterre, États-Unis, Canada et j’en passe, ont des résultats probants, ayant compris la différence entre «personne» et «être vivant». Moi même, ici en France, j’en ai eu.

En 2015, j’ai visionné une vidéo très intéressante d’un jeune homme noir traduit en justice aux États-Unis pour manquement au paiement de la pension alimentaire de son enfant. (Je ne retrouve plus cette vidéo, mais peu importe : il y en a d’autres.) La juge a tenté par tous les moyens de faire cet homme s’associer à la personnalité juridique = PERSONNE FICTIVE afin de lui coller un jugement au cul et peut-être même une peine de prison. Il a répondu à toutes les questions de la juge par autant d’autres questions sans jamais donner les informations demandées, à tel point que la juge ne pouvant l’associer à la «personne» ― frauduleusement nommée comme lui ― a fini par déclarer que la procédure ne pouvait continuer, et l’homme est rentré chez lui. Fin de la partie. Croyez-vous que ce serait possible si un être vivant était une «personne» ? Cela ne vous enseigne-t-il pas que nul ne peut juger un Homme ou une Femme vivant dans un tribunal de commerce ― quelle que soit la présumée juridiction : civile, pénale, etc., étant donné que tous les tribunaux relèvent de la seule juridiction maritime dans la mesure où les Hommes et les Femmes vivants ne sont pas des «personnes» ? Le système maritime/commercial mondial de facto ne peut juger que des entités fictives = des personnes ou des choses «mortes et sans droits».

Par BibiCabaya

L’information concernant Unam Sanctam et Romanus Pontifex est tiré d’un article initialement publié le 08 décembre 2013 par Truth Seeker1313 (https://truthseeker1313.com/2013/12/08/courts-names-and-the-cestui-que-vie-trust/) intitulé «Les tribunaux, le nom et la fiducie Cestui Que Vie» (traduit de l’anglais) et que j’ai publié sur ce blog le 24 avril 2016. Truth Seeker1313 a fermé depuis.

Source de l’article de Valérie Bugault ; Strategika https://strategika.fr/2020/06/21/lescroquerie-de-la-pretendue-fraude-au-nom-legal/, publié le 21 juin 2020.

Vu sur Profession Gendarme /5644dae4c24efa9ef336cb3bd858d246/lescroquerie-de-la-pretendue-fraude-au-nom-legal/, publié le 09 juillet 2020.


Les Notes de BibiCabaya :

1 Il s’agit de l’acte de naissance qui fait suite à la déclaration de naissance.

2 Si on admet que l’Empire romain a existé… En effet, certains historiens de renom remettent son existence même en question en argumentant qu’il aurait été créé afin de dissimuler un plus grand empire mondial, civilisé et prospère : l’Empire Tartaro-Mongol. Mais c’est un autre débat…

3 À travers ce blog, j’ai souvent fait le point entre LA LOI et les statuts. LA LOI est celle du Créateur de l’Univers = Loi Naturelle à laquelle les Hommes et les Femmes de la Création sont naturellement soumis. Les statuts ou règles statutaires sont des règles édictées par les Hommes/Femmes et/ou les démons, or les Hommes et les Femmes ne sont pas soumis à leurs pairs, et encore moins aux démons…

4 Notez bien que la soumission est au «pontife», un homme, et non à l’Église… ce qui est, dans les deux cas, contraire aux préceptes bibliques vu que la Loi Biblique stipule clairement que l’Homme et la Femme créés par Dieu sont soumis aux seuls Créateur et Sa Loi.

5 C’est pour cette raison que l’on n’est jamais propriétaire de rien même quand on achète un bien, y compris immobilier : tout appartient à la Couronne. C’est la raison pour laquelle (1) on paie des impôts fonciers ou autres sur un bien «acquis» et (2) «l’État», qui est un vassal du Souverain Pontif peut, sous des prétextes choisis, saisir «nos» biens… qui ne sont pas juridiquement les nôtres puisque enregistrés sous une fausse «identité» = personne juridique.

6 Qu’a fait l’Église pour aider l’Abbé Pierre ?

7 3 millions d’Haïtiens ne sont pas inscrits à l’état civil (source).

8 Un exemple, parmi tant d’autres, de conceptions juridiques subjectives, intéressées et foireuses est la loi N°2010-1192 du 11 octobre 2010 qui stipule «Nul ne peut, dans l’espace public, porter une tenue destinée à dissimuler son visage», alors les robocops et autres gens d’armes sont casqués et cagoulés à mort…

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