LES VACCINS COVID CAUSENT LA MALADIE DE LA VACHE FOLLE

NOUVELLE ÉTUDE : Les vaccins COVID sont liés à la maladie à prion similaire à la dégénérescence du cerveau induite par la maladie de la vache folle.

Un nouveau rapport scientifique suggère qu’il pourrait y avoir des risques potentiellement mortels liés à la précipitation dans la sphère publique des vaccins expérimentaux de thérapie génique à ARN messager sans véritable réglementation ni tests de sécurité à long terme.

Le nom du rapport rédigé par le Dr Greg Nigh est Pire que la maladie ? Examen de quelques conséquences imprévues possibles des vaccins à ARNm contre le COVID-19, qui avertit explicitement que «la circulation exceptionnellement rapide de ces vaccins par le biais d’essais contrôlés et d’un déploiement de masse soulève de multiples problèmes de sécurité.» C’est contre cela que de nombreux critiques, tels l’ancien président du Comité de Santé du Conseil de l’Europe, le Dr Wolfgang Wodarg, et l’ancien directeur de Pfizer, le Dr Micheal Yeadon, mettent en garde depuis des mois, mais au lieu de tenir compte de cette situation potentiellement catastrophique, les gouvernements, les médias d’affaires et les ingénieurs de la censure de YouTube, Facebook et Twitter ont tous cherché à faire taire toute critique de la gamme actuelle de vaccins expérimentaux émanant de sociétés pharmaceutiques bien connectées.

Dans le passé, une «autorisation d’utilisation d’urgence» (EUA) n’était valable que pour une période limitée et uniquement pour une partie de la population la plus vulnérable à une maladie. Mais le régime actuel de l’EUA est autorisé à fonctionner indéfiniment et pour tous les «vaccins complémentaires» et est utilisé pour essayer de vacciner l’ensemble de la population peu importe qui est en bonne santé ou malade, ou à risque ou non. Déjà, tant aux États-Unis qu’au Royaume-Uni, les préjudices et les décès dus aux vaccins ont de loin éclipsé tout ce qui a été observé auparavant sans un rappel complet de la part du gouvernement des produits en question. Les régulateurs gouvernementaux admettront-ils qu’ils ont eu tort d’écarter le processus normal de réglementation pharmaceutique et de capituler face à des pressions politiques et affairistes extrêmes ?

Le rapport du National File…

Une nouvelle étude des conséquences involontaires possibles des vaccins COVID-19 suggère que les vaccins controversés à ARN messager Moderna et Pfizer peuvent conduire à des conditions neurologiques inattendues similaires à la maladie de la vache folle.

La revue par Stephanie Seneff qui travaille au Laboratoire d’informatique et d’intelligence artificielle du MIT, et du Dr Nigh qui se spécialise en oncologie naturopathique à Immerson Health à Portland dans l’Oregon, a été publiée cette semaine dans l’International Journal of Vaccine Theory, Practice and Research [NdT Journal International de la Théorie, de la Pratique et de la Recherche Vaccinales], et consacre un espace considérable à discuter de la recherche du Dr J. Bart Classen qui a publié pour la première fois un document de recherche sur la possibilité de dégénérescence cérébrale liée aux prions causée par le vaccin COVID-19 le mois dernier, et s’étend sur sa recherche.

Les chercheurs expliquent que «les chercheurs ont identifié un motif de signature lié à la susceptibilité au mauvais repliement en oligomères toxiques et appelé motif de glissière à glycine. Il est caractérisé par un motif de deux résidus glycine espacés de trois acides aminés intermédiaires, représentés par GxxxG. Le prion bovin lié à la vache folle a une séquence spectaculaire de dix GxxxG consécutifs» et note que «la protéine de pointe SARS-CoV-2 est une protéine transmembranaire qui contient cinq motifs GxxxG dans sa séquence» et que, par conséquent, «il devient extrêmement plausible qu’elle puisse se comporter comme un prion».

«Rappelons que les vaccins à ARNm sont conçus avec une séquence modifiée qui remplace deux acides aminés adjacents dans le domaine de fusion par une paire de prolines», poursuivent les auteurs. «Ceci est fait intentionnellement afin de forcer la protéine à rester dans son état ouvert et de rendre plus difficile sa fusion avec la membrane. Cela nous semble être une étape dangereuse vers un mauvais repliement pouvant conduire à une maladie à prions. »

Les prions ont été décrits pour la première fois comme la méthode par laquelle la maladie de la vache folle [NdT maladie de Creutzfeldt-Jakob] provoque une dégénérescence cérébrale due à un mauvais repliement des protéines dans le corps. Le CDC note que «les maladies à prions progressent généralement rapidement et sont toujours mortelles». La maladie de la vache folle «attaque progressivement le cerveau mais peut rester en sommeil pendant des décennies», selon la BBC.

« Pfizer affirme que les fragments d’ARN … « ne donneront probablement pas de protéines exprimées«  en raison de leur dégradation rapide supposée dans la cellule », notent les chercheurs qui ajoutent : «Bien que nous n’affirmions pas que les protéines non-spike générées à partir d’ARN fragmenté seraient mal repliées ou autrement pathologiques, nous pensons qu’elles contribueraient au moins au stress cellulaire qui favorise les changements conformationnels associés aux prions dans la protéine de pointe qui est présente. »

Traduit de l’anglais par BibiCabaya (15 mai 2021).

Partagé par News Wire https://21stcenturywire.com/2021/05/15/new-study-covid-vaccines-linked-to-prion-brain-degeneration-similar-to-mad-cow-disease/, le 15 mai 2021 ; et par Before It’s News https://beforeitsnews.com/alternative/2021/05/new-study-covid-vaccines-linked-to-prion-brain-degeneration-similar-to-mad-cow-disease-3750449.html, le 15 mai 2021.

Source : National File https://nationalfile.com/review-covid-19-vaccines-may-lead-to-prion-linked-brain-degeneration-similar-to-mad-cow-disease/ , publié le 12 mai 2021.

*