ATTAQUE COMMERCIALE DE MERCENAIRES CONTRE L’HUMANITÉ

De l’humain au transhumain

Par Anna Von Reitz

ATTAQUE COMMERCIALE DE MERCENAIRES CONTRE L’HUMANITÉ — AVIS INTERNATIONAL À TOUS LES TRIBUNAUX INTERNATIONAUX

En 2013, dans une affaire de la Cour suprême des États-Unis, Pathology v. Myriad Genetics, Inc., 569 U.S. 576, le tribunal a statué [1] que la modification du génome humain via une injection d’ARNm crée un nouveau génome qui peut être breveté et détenu par le titulaire du brevet. Tous ceux qui ont reçu le prétendu vaccin sont désormais «brevetés» et appartiennent à la vermine. Tout homme ou toute femme ayant reçu l’injection est considéré comme «transhumain».

Les transhumains ne sont pas considérés comme naturels [2] et n’ont donc pas de droits naturels et inaliénables [3]. Les transhumains ne sont pas considérés comme des humains et ne bénéficient donc pas de «droits de l’homme» [4]. Les transhumains ne peuvent pas avoir les mêmes droits civils car toute norme [5] «d’égalité des droits» a été détruite.

La Résolution H.J. 48 du 116e Congrès, c’est-à-dire du Congrès territorial des États-Unis (2019-2020), propose un amendement constitutionnel selon lequel les droits protégés par les accords constitutionnels [6] s’appliquent aux «personnes physiques uniquement» [7].

Ces conséquences — frauder, déshumaniser et asservir des êtres vivants afin de servir les intérêts des entreprises — ont fait l’objet de poursuites pour tromperie délibérée et non-divulgation en tant que stratagème de fraude visant à échapper aux obligations constitutionnelles et aux lois et conventions internationales, dans le but de s’emparer de et d’asservir les populations humaines en les réduisant en serfs «transhumains».

Les responsables de ces attaques de mercenaires sont des criminels internationaux [8] auxquels aucun tribunal ni aucun système judiciaire ne doit rien [9].

La fraude vicie toutes leurs réclamations en vertu du droit civil romain.

Leurs actes de piraterie intérieure [10] et de conversion illicite vicient toutes leurs revendications en vertu du droit de l’Amirauté. Et la maxime de droit selon laquelle «la possession par des pirates ne constitue pas un changement de propriétaire» vicie leurs prétentions en vertu du droit maritime.

On pourrait ajouter que les tentatives d’occultation de la nature et de la provenance des biens volés, en l’occurrence des biens fonciers, ne confèrent aucune valeur ajoutée aux auteurs de ces crimes qui sont tout simplement des criminels cherchant à dénaturer, redéfinir et détruire leur créanciers prioritaires.

Nous souhaitons une excoriation complète, immédiate et puissante de tels efforts visant à établir un système de féodalité commerciale et à saper la santé, la Nature et le libre arbitre de l’humanité.

Nous souhaitons l’émission immédiate de mandats d’arrêt internationaux contre les membres du Congrès américain de territorialité britannique et de la Cour suprême des États-Unis, Larry Fink, PDG de BlackRock, Inc. et ses dérivés ; William H. Gates III, ancien PDG de Microsoft, Inc. ;  Dr Anthony Fauci, employé des National Institutes of Health, Inc. ; les dirigeants et membres du conseil d’administration des Centers for Disease Control, Inc. ; Pfizer, Inc. ; Astrozenaca, Inc. ; Moderna, Inc. ; Johnson and Johnson, Inc. ; et d’autres responsables de la promotion et de la mise en œuvre de ces crimes contre l’humanité.

Ces réclamations scandaleuses et les dommages causés à des gens innocents au nom du profit mercenaire et politique doivent être contrés par la liquidation de ces sociétés et par la sanction de leurs dirigeants et des membres de leur conseil d’administration. Le gouvernement américain actuel agissant dans la juridiction internationale, notre Fédération des États non constituée en société faisant commerce sous le nom Les États-Unis d’Amérique depuis 1776, se tient prêt à aider et à approuver l’arrestation et la poursuite de ces criminels.

Anna Maria Riezinger, Fiduciaire
Les États-Unis d’Amérique

Source : Anna von Reitz http://annavonreitz.com/mercenaryattack.pdf

Traduit de l’anglais par BibiCabaya (02 juillet 2021).


Les Notes de BibiCabaya :

1 La Cour suprême des États-Unis est une personne morale (voir Je suis conscient du monde réel) et, à ce titre, n’a aucune autorité de décider pour les Hommes et les Femmes VIVANTS de la Création du Créateur Primordial. Toutes les décisions de la Cour suprême des États-Unis et des autres tribunaux de facto dans le monde — de quelque juridiction qu’ils soient — ne s’appliquent qu’aux entités juridiques fictives, dans la mesure où cette Cour et ces tribunaux sont eux-mêmes des entités juridiques.

2 Qui décide ? N’avez-vous pas, si vous êtes vacciné, votre mot à dire ? Auriez-vous perdu, si vous êtes vacciné, votre âme éternelle, parcelle du Créateur Primordial en vous ? C’est possible que vous finissiez par la perdre à cause de cette injection, mais quand la perdez-vous après l’injection, QUI décide que vous n’êtes plus naturel, et pourquoi (motif caché) ?

3 C’est la raison pour laquelle «ils» ont inventé la personnalité juridique : afin d’outrepasser nos droits naturels et imprescriptibles en nous faisant croire que nous sommes cette «personne» dénuée de droits et dont ils sont propriétaires. Cette personne n’a que des privilèges : les privilèges sont accordés et retirés par ceux qui sont en position de les accorder et de les retirer : les propriétaires.

4 Les «droits de l’homme» sont une dangereuse manipulation car c’est précisément ce qui permet de maltraiter tout le reste de la Création, y compris la Création elle-même. Les «droits de l’homme» sont une division supplémentaire (diviser pour mieux régner) que les cabalistes ont imaginée. TOUTES LES CRÉATURES du Créateur Primordial dans Sa Création ont les même droits : demandez aux bouddhistes ! Eux, ils ont compris. Toute la Création du Créateur est Divine et mérite le respect dans toutes ses formes et à tous les étages. Les Hommes et les Femmes n’ont pas plus de droits que les fourmis ; la différence c’est que bien souvent nous ne voyons pas les fourmis, donc nous n’y pensons pas… Les abeilles, par exemple, ont les mêmes droits que les Hommes et les Femmes : droit à la sécurité, droit à la vie, droit d’aller et venir, droit de «travailler», etc. La Création n’est PAS le «joujou» des seuls Hommes et Femmes, la Création est L’ŒUVRE du Créateur Primordial.

5 Les «normes juridiques» sont faites pour les entités juridiques fictives. Pour toutes les autres créatures du Créateur, il y a la Loi Naturelle du Créateur qui est inscrite dans leurs gènes et dans leur conscience. Les animaux n’ont pas de tribunaux, pourtant ils font respecter leur territoire, défendent leur vie et leurs petits, se procurent «logement» et nourriture, et vivent en bon voisinage, etc. Visionnez les documentaires animaliers pour comprendre un aspect de la Loi Naturelle. Les animaux dans la Création ont droit aux mêmes égards que nous autres Hommes et Femmes : le droit à la sécurité, le droit à la vie et au respect de celle-ci, le droit à un environnement sain, etc. Sous prétexte qu’un corps étranger aurait été introduit dans le corps humain, l’être en question devrait-il perdre ses droits naturels et imprescriptibles ? Si c’est le cas alors les cancéreux et tous les malades qui suivent des traitements (brevetés) et prennent des médicaments (brevetés) et les gens qui ont été empoisonnés (les poisons sont brevetés aussi), etc. ne seraient plus considérés comme humains ??

6 Ces accords sont commerciaux car ils émanent les personnes morales à but lucratif régies par l’UCC (droit commercial) que sont les sociétés privées se faisant passer pour des États/gouvernements légitimes.

7 Rappelez-vous que, en droit (= règles privées de tierces parties), une «personne» physique ou naturelle n’est pas un Homme ou une Femme VIVANT, mais une entité juridique fictive associée à un être vivant (voir Je suis conscient du monde réel). Nos droits ne sont pas «constitutionnels» (= un piège dans la mesure où les Constitutions peuvent être modifiées ou abrogées…) : ils sont naturels (nous naissons avec ces droits) et imprescriptibles (ils ne peuvent être modifiés, annulés, amoindris par quiconque…) (voir Comprendre nos droits et savoir qui nous sommes).

8 On dit aussi des pirates puisqu’ils naviguent en plein droit maritime.

9 Le système judiciaire de facto a été mis en place par les banquiers afin de protéger leurs intérêts. C’est la raison pour laquelle, au tribunal, vous ne gagnerez jamais contre le système même si vous avez raison et un dossier en béton. 

10 Ils font exactement la même chose avec les semences de mort Monsanto : Monsanto envoie ses agents en catimini jeter ses semences de mort dans des champs privés. Puis ces agents reviennent au bout d’un certain temps chez les agriculteurs et les accusent d’utiliser sans autorisation la propriété brevetée de Monsanto. Résultat : les pauvres agriculteurs sont condamnés par le système judiciaire de facto à la botte des grands groupes à payer des indemnités quasi à vie à Monsanto. Dans ces champs, il n’y a pourtant pas que les semences de Monsanto, il y a aussi celles que l’agriculteur a plantées lui-même, mais il paiera comme si tout le champ était la propriété de Monsanto… Il paie parce qu’il ne sait pas que les règles statutaires, dites «lois» et règlement, ne s’appliquent pas à lui. Quand il le saura, Monsanto ne pourra plus le plumer.

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